A Ormond Beach, un homme de 326 livres a été renvoyé de l’hôpital où il devait subir une intervention chirurgicale parce qu’il était trop gros.
Non qu’on veuille faire de la discriménation, mais bien parce que les autorités du Memorial Hospital-Ormond Beach prétendent que la table d’opération ne pourrait le supporter à cause de son poids. La table prend 300 livres, pas une de plus. L’hôpital a donc décidé qu’il était plus prudent de ne pas procéder à l’opération et de se décharger de toutes les complications ou poursuites.
Preston Burgin, l’homme de 52 ans qui devait avoir une opération pour le cur est donc retourné chez lui avec son petit bonheur cherchant désespérément un hôpital qui pourra l’opérer au plus vite.
Très peu d’hôpitaux en Floride peuvent l’accommoder. La majorité des tables d’opérations peuvent supporter un poids de 300 livres
L’obésité est pourtant un problème majeur en Floride. Il est à parier que les prochaines campagnes électorales se feront sur le dos de l’obésité.
17 Cubains rescapés
Abandonnés sur une île par leurs prétendus sauveurs de l’enfer de Cuba, 17 cubains ont été retrouvés par la garde côtière américaine la semaine dernière. Les Cubains étaient tous en bonne santé, mais on s’est empressé de les nourrir et de leur donner de l’eau, tout en continuant de fouiller l’île à la recherche de Cubains.
Depuis un mois, 43 Cubains sont arrivés en Floride sur des petits bâteaux de fortune et, c’est toujours la même chose. Ils s’empressent tous de toucher la terre avant l’arrivée des gardes côtières.
Pas compliqué, c’est la loi des pieds secs, pieds mouillés. Ceux qui arrivent à toucher le sol américain avant d’être intercepté, peuvent généralement rester aux Etats-Unis et obtenir une green card très facilement. Les moins chanceux, ceux qui se font prendre les pieds dans l’eau sont immédiatement retournés à Cuba.
Les 17 Cubains retrouvés la semaine dernière ne peuvent rester aux USA. Ils étaient sur une île des Caraïbes. Ils avaient pourtant payé une fortune pour leur petit voyage en bateau vers la terre promise.
Fini les hot dogs
Dans toute la Floride, les comtés de Broward et Dade arrivent bon premier en ce qui concerne la nourriture servie dans les cafétérias des écoles.
On a délaissé le junk food qui était à l’honneur depuis des années. Les plateaux sont remplis de légumes, fruits, viandes sans gras, salades et desserts à faibles calories, jus additionné de vitamine et de calcium.
La Floride se prend en main. Finis les hot dogs et les hamburgers tous les jours, les gâteaux à calories vides et les boissons gazeuses. A l’école, les étudiants mangent plus sainement et restent plus alertes.
Le corps dans le congélateur
En plein cur de Fort Lauderdale, une grand-mère très déséquilibrée a tué sa petite fille de 17 mois et a ensuite mis le corps de l’enfant dans le congélateur familial.
Christine Sharrow a confessé son crime. Après le crime, la grand-mère est allée magasiner à Sawgrass, mais c’est avec le plus de détails possibles qu’elle a avoué son meurtre. Elle a étouffé l’enfant avec une corde en lui disant qu’elle l’aimait.
C’est le beau-frère qui a contacté le 911. Le policiers ont alors ouvert la porte du congélateur et là était le bébé.
Christine n’en est pas à son premier crime. Il y a quelques années, elle a fait de la prison pour avoir poignardé son ami de cur à mort.
Des restants humains dans du Tupperware
Un professeur en neurologie de l’University of Florida a été remercié de ses services mardi dernier après que les policiers aient trouvé des restants humains dans des contenants de Tupperware à sa résidence de Gainesville.
Joseph James Warner 49 ans, est accusé de violence conjugale et conservation de restants humains.
Le professeur a de gros problèmes. Dans ses contenants de Tupperware ou des pots de confitures, les policiers ont retrouvé des bras, des jambes, des cervelles, des doigts, sans doute pris à l’université mais que l’Université n’a jamais autorisé à ramener chez lui.
On n’aurait jamais soupçonné le professeur si sa femme n’avait pas téléphoné à la police mardi soir pour se plaindre de violence familiale. Fou de rage, monsieur la battait.