La course au Sénat est loin d’être facile pour Hillary Rodham-Clinton. On est au pays des bassesses.
Elle doit se battre dans « l’environnement politique le plus dur du pays, on me l’a toujours dit et je crois que c’est vrai ». Elle admet « avoir dû apprendre comment être une candidate. J’ai dû apprendre de mes erreurs ». Si elle devait se noter elle-même, elle écrirait: « Doit progresser, mais fait des efforts et s’améliore ».
Rien n’est facile. La route est pavée d’embûches. Le pire obstacle n’est pas Bill ou Monica et le scandale de l’année dernière, mais les commérages de bas niveau.
Les rumeurs à l’effet qu’elle serait lesbienne courent depuis longtemps mais voilà qu’un commentateur politique du nom de Jack Wheller affirme que la First Lady est bisexuelle.
Selon Wheller, celle qui supporte la cause des gais et des lesbiennes depuis longtemps aurait une longue liste de conquêtes.
On y retrouverait, entre autres, une jeune femme de 30 ans, une animatrice de talk show fort populaire, une actrice, la fille d’un haut placé au gouvernement, une autre femme qui répond au nom de Donna Shalala, l’avocate Susan Thomases et un superbe mannequin.
Pis encore, dans le livre Steeping With the President, une ancienne flamme de Bill Clinton a déclaré qu’elle était convaincue que la First Lady était lesbienne. Cette dame cite: « Hillary a eu plus de maîtresses que le président lui-même. »
Dans tout ce tumulte, Hillary reste de glace
mais pour combien de temps?
D’ici quelques semaines, elle devra apporter des réponses claires et précises au peuple. Les médias ne lâcheront jamais le morceau.
L’horreur totale et de quoi vomir sur la politique. Madame Clinton est forte… elle le prouve encore.
Le nouveau livre, sorti la semaine dernière, est loin de redorer son blason. Les titres font la une de tous les magazines américains.
On l’accuse carrément d’être lesbienne. Le National Enquirer n’y va pas de main morte.
C’est dégueulasse.