Home Flash floride Fini le taxage on porte l’uniforme – Ménage de tiroir de 10 M$ – Bush se fait du capital politique – Miami arrive 3e – Le DCF se traîne les pieds –

Fini le taxage on porte l’uniforme – Ménage de tiroir de 10 M$ – Bush se fait du capital politique – Miami arrive 3e – Le DCF se traîne les pieds –

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Avec la rentrée scolaire, plusieurs parents s’arrachent les cheveux. Non seulement les vêtements coûtent cher, mais il y a beaucoup de taxage et de jalousie, dans les écoles.

L’année dernière, certains comités de parents de Miami avaient réglé le problème et imposé un code vestimentaire dans les écoles. Un uniforme tout simplement.

Cette année, ils récidivent tous. 205 écoles élémentaires et 53 écoles secondaires ont exigé l’uniforme. Et les résultats sont heureux. Les notes scolaires grimpent, les enfants sont moins stressés, on a éliminé le taxage, les retards tous les matins, les chicanes entre parents et enfants et limité les dépenses.

Plusieurs comité de parents de Miami-Dade songent à les imiter et régler définitivement le plus gros problème de la rentrée scolaire à Miami.

Un ménage de tiroirs payant
En fouillant dans ses tiroirs en fin de semaine, Diane Charbonneau de Fort Lauderdale trouve des billets de Florida Lotto pour le tirage du 29 mai, billets qu’elle avait complètement oubliés.

Elle regarde ses billets, termine son ménage et s’installe devant son ordinateur pour aller vérifier ses numéros sur Internet. En moins de deux, elle réalise qu’elle a quatre numéros gagnants…puis les six numéros soit le 1-6-20-24-37-50.

Cri de mort dans la maison. Avec son compagnon Robert Phillips elle se présente au bureau de la Florida Lotto dès lundi matin pour apprendre qu’elle remportait le gros lot de 10 M$.

Avec cet argent, Diane Charbonneau 55 ans, envisage une retraite et donne 1 M$ à une œuvre de charité. Elle a fait des arrangements et recevra 30 paiements annuels de 364 000$.

Madame Charbonneau se promet de faire le ménage de ses tiroirs régulièrement…

Bush se fait du capital politique
Parlant espagnol et dans une église bondée d’Hispaniques, le gouverneur Jeb Bush accompagné de son épouse Columba a éclaté en sanglots alors qu’il remerciait les gens de prier pour sa fille Noëlle, toujours en cure de désintoxication pour de sérieux problèmes de drogues.

Jeb et Columba visitaient le Restoration Christian Center afin de recevoir les appuis de la communauté hispanique, soit la Hispanic Association of Christian Churches of Central Florida pour les prochaines élections. Le couple est en pleine campagne électorale.

Et c’est justement ce qui fait sourire l’opposition qui trouve que Bush en met un peu trop pour s’attirer la sympathie des gens.

On l’accuse de se faire du capital politique sur le dos de sa fille.

Le DCF se traîne les pieds
Dimanche dernier, le Sun Sentinel publiait les noms de 9 enfants disparus et retrouvés par les médias, alors que le DCF (Department of Children Family) prétendait être toujours à la recherche des disparus.

Comment les médias peuvent-ils retrouver des enfants portés disparus alors que le DCF ne peut pas? Le Sun Sentinel a étudié 24 dossiers d’enfants portés disparus dans les régions de Palm Beach, Miami Dade et Broward et, en moins de trois heures, deux enfants disparus depuis quatre semaines ont été retrouvés, alors que les noms de d’autres enfants retrouvés sont toujours dans les dossiers d’enfants disparus du DCF.

Depuis avril dernier, le DCF est pointé du doigt. Quelque part, quelqu’un ne fait pas bien son travail et se traîne les pieds. Dans la capitale de la Floride, on s’est refusé de répondre aux questions des journalistes.

Les contribuables se posent des questions.

Dimanche, le résultat de l’enquête du Sun Sentinel se lisait comme suit :

1. Deux sœurs disparues depuis 1997 habitent avec leur mère dans le Wisconsin.

2. Quatre frères portés disparus depuis janvier 2002 habitent à Overtown à moins d’un kilomètre des bureaux du DCF.

3. Un garçon de Miami disparus depuis deux ans est à North Miami Beach chez un oncle.

4. Un autre jeune vit avec s mère à Miami

De toute évidence, les employés se traînent les pieds et il y a un gros ménage à faire là. Ce sont des vies humaines qui sont en cause, pas des casseaux de fraises.

Miami au 3e rang
Les Hispaniques adorent Miami, c’est bien connu et pourtant, selon le Hispanic Magazine, Miami arrive troisième dans le rang de leurs villes préférées.

Voici le classement
1. San Diego
2. Austin, Texas
3. Miami
4. San Antonio
5. El Paso-Las Cruces, Texas
6. Albuquerque, N.M.
7. Tucson, Ariz.
8. Los Angeles
9. New York
10. Raleigh-Durham-Chapel Hill, N.C.

Email Michèle Sénécal
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