On est en pleine prohibition. Un désespéré a décidé d’en finir avec la vie. Il voudrait bien se suicider, mais il n’en a pas le courage.
Il cherche un moyen de se faire aider par la nature, lorsqu’il lui vient une idée ; le tripot clandestin d’Al Capone se trouve juste en face de chez lui…
Le soir même, le désespéré entre dans le «cabaret/maison de jeu/maison de passe» et il se rend directement à la table du mafieux pour l’insulter :
– Monsieur Al Capone, vous n’êtes qu’une crapule !
D’abord surpris, Al Capone est aussitôt pris d’une crise de fou rire et il dit à ses lieutenants de ne pas bouger en même temps qu’il invite l’énergumène à rester à sa table :
– Accepteriez-vous de boire une coupe de champagne avec une crapule? lui demande-t-il.
En guise de réponse, le suicidaire attrape la coupe, lui balance le verre à la figure et hurle :
– Al Capone, tu n’es qu’une poule mouillée, un lâche! Regarde ce que je vais faire maintenant!
Et le gars attrape alors la petite amie d’Al Capone, une grande blonde dans une jupe fuseau très échancrée, et sans vergogne, il se met à l’embrasser dans le cou.
Voyant qu’Al Capone ne bronche toujours pas, il continue en lui pelotant les seins…
C’est à ce moment là que la fille réagit et lui dit passe discrètement un petit bout de papier. Sur le mot, il est écrit :
« Quand tu arriveras aux couilles, ne dis rien.
Signé Eliott Ness. »
Haut les pattes !