Vos médicaments
Si vous prenez des médicaments, emportez-en plus qu’il ne vous en faut, au cas où vous resteriez absent plus longtemps que prévu. Emportez également un double de votre ordonnance, indiquant la dénomination commune et le nom commercial de vos médicaments, qui vous servira en cas de perte ou de vol. De même, si vous portez des lunettes ou des lentilles de contact, emportez votre ordonnance afin de pouvoir les remplacer facilement en cas de besoin.
N’essayez pas de gagner de la place dans vos bagages en mettant tous vos médicaments dans la même boîte. Pour éviter tout problème aux douanes, laissez-les dans leur emballage d’origine étiqueté. Les douaniers en seront que plus heureux et vous aussi.
Certains médicaments en vente libre au Canada sont interdits dans d’autres pays ou ne se vendent que sur ordonnance. Renseignez-vous pour savoir si la vente des médicaments que vous prenez est autorisée dans le pays où vous allez. Avant de vous rendre dans certains pays, il est également conseillé d’obtenir une note de votre médecin précisant les raisons médicales de votre ordonnance et la dose prescrite.
Si vous utilisez des seringues pour une maladie telle le diabète, il est important d’en emporter une quantité suffisante. Il vous faut également un certificat médical attestant que ces seringues sont destinées à un usage médical.
Source: Gouvernement du Canada
182 jours en tout
Quand vous demandez à quelqu’un combien de temps il peut séjourner aux États-Unis chaque année, plusieurs vous diront : 183 jours. Dans un sens c’est vrai, parce que la loi vous permet de rester aussi longtemps comme une personne non résidente. Mais en réalité, ceci induit plusieurs personnes en erreur. Premièrement, pensez à 182 jours, et non 183. À 183 jours de présence en sol américain chaque année, VOUS DEVEZ REMPLIR VOTRE DÉCLARATION D’IMPÔT aux États-Unis ainsi que dans votre pays de résidence. Deuxièmement, pensez 121 jours
si vous résidez aux États-Unis une moyenne de 121 jours par année ou plus, vous devez remplir le formulaire 8840 afin d’établir que vous avez plus de relations à un autre pays qu’aux États-UnisGénéralement, vous êtes traité comme étant présent aux États-Unis n’importe quel jour que vous êtes physiquement présent dans le pays n’importe quel temps de la journée (ce qui signifie que vous devez compter quelques heures d’une journée comme un jour complet). Cependant, vous ne comptez pas les jours suivant votre présence au États-Unis en raison du substantial presence test.
1. Jours que vous consacrez au travail aux États-Unis à partir d’une résidence au Canada ou au Mexique.
2. Jours que vous étiez aux États-Unis pour moins de 24 heures quand vous voyager entre deux endroits en dehors des États-Unis.
3. Jours que vous étiez temporairement aux États-Unis en tant que membre de l’équipage d’un vaisseau étranger engage en transport entre les États-Unis et un pays étranger ou une possession des États-Unis à moins que vous étiez engagés en commerce ou affaires un tel jour.
4. Jours que vous étiez incapable de quitter les États-Unis à cause d’une raison médicale ou un problème de santé qui est apparu pendant votre séjour aux États-Unis.
5. Jours où vous étiez un individu exempté. En général, un individu exempté est :
(a) un individu relié à un gouvernement étranger,
(b) un professeur ou stagiaire,
(c) un étudiant, ou
(d) un athlète professionnel qui compétitione lors des événements sportifs charitables.
Note. Si vous vous qualifiez à exclure des jours de présence aux États-Unis parce que vous êtes un individu exempté autre qu’un individu relié à un gouvernement étranger ou parce que vous avez une condition médicale ou un problème de santé, vous devez remplir formulaire 8843 (Statement for Exempt Individuals and Individuals With a Medical Condition).
Source : Gouvernement du Québec.
Tomates/Aubergines
2 aubergines
3 tomates, en tranches
Sel, au goût
Poivre, au goût
1 feuille de laurier
1 c.à soupe thym, haché
1 c.à soupe romarin, haché
3 c.à soupe huile d’olive
2 gousses ail, hachées
4 c.à soupe persil, haché
Préchauffer le four à 325°F.
Retirer le pédoncule des aubergines, les laver et les éponger. Les tailler en rondelles.
Disposer les rondelles d’aubergine dans un plat à gratin en les faisant alterner avec les tranches de tomate.
Assaisonner de sel et de poivre.
Ajouter la feuille de laurier et parsemer du thym et du romarin. Arroser le tout de l’huile d’olive et recouvrir d’un papier d’aluminium. Faire cuire au four pendant 1 heure.
Pendant ce temps, mélanger l’ail et le persil. Réserver. Quinze minutes avant la fin de la cuisson, saupoudrer les aubergines de la persillade et terminer la cuisson.
Servir dès la sortie du four. ( On peut gratiner le plat avec du fromage 15 minutes avant la fin de la cuisson.)
Nouveau voisin
Phil Collins, chanteur et drummer de métier est maintenant l’heureux propriétaire d’une residence de 33 M$ à Miami Beach. Une somptueuse villa construite en 1929 mais entièrement rénovée avec 200 pieds en bordure de Biscayne Bay. C’est pas rien. La villa de 2150 pieds carrés comprend tout ce qu’un être humain peut rêver de posséder un jour. Jour qui n’arrivera jamais pour la plupart d’entre nous, avec court de tennis, piscine, cave à vins, salle de cinéma, gym, terrasses, quai pour le bateau, sept chambres à coucher et autant de salles de bain. La totale pour une luxueuse maison. Lui qui grattait les fonds de tiroir pour vivre en tout début de carrière, peut toujours nous chanter son grand succès : Just Take a Look at Me Now.
La maison a déjà appartenu à Jennifer Lopez qui on le sait, n’a jamais habité dans un taudis. Lopez mène grand train et elle en a les moyens.
St-Pierre à Miami
ll y a maintenant plusieurs semaines que la designer québécoise Marie St-Pierre a établi ses pénates à Miami et l’acceuil que lui ont réservé les Américains lui est très favorable. Miami, tout le monde le sait maintenant, est la plaque tournante des arts modernes laquelle tous les grands de ce monde se tournent.
Marie St-Pierre est installée dans une usine désaffetée du quartier Wynwood à Miami, un quartier qui comme plusieurs quartiers des grandes villes, était considéré comme un quartier sans envergure. Et comme ca arrive partout, ces mêmes quartiers se modernisent. Si bien qu’ils deviennent très recherchés, très in, très branchés par une classe de gens tout aussi branchée que le quartier.
Créatrice de mode Marie Saint Pierre (de son vrai nom, Marie-Josée Charest) a réussi, au fil des ans, à imposer son style, reconnaissable entre tous. Cette artiste, doublée d’une femme d’affaires chevronnée, a su implanter sa griffe à l’échelle internationale. Mme Saint Pierre est née à Montréal, en 1961. Fraîche émoulue du collège LaSalle et bénéficiant d’une bourse du Fashion Group International de Montréal, elle installe son atelier dans le Vieux-Montréal, en 1987. Ses toutes premières collections de vêtements se vendent au Québec et en Ontario. En 1990, le prestigieux prix Woolmark lui apporte une renommée nationale.
L’année suivante, elle lance sa première boutique sur la rue Saint-Denis de Montréal. Deux ans plus tard, trois boutiques parisiennes s’ajoutent aux points de vente de ses créations. Peu après, elle fait une percée audacieuse à New York. En 1997, elle donne le coup d’envoi de la revitalisation du Quartier du Musée en déménageant sa boutique sur la rue de la Montagne. En 1998, elle ouvre une boutique à Toronto. En 2004, elle inaugure son nouvel atelier de création-confection dans Saint-Henri, près du canal Lachine. En 2009 et 2012, elle s’aventure hors de son domaine de prédilection, en habillant de textiles tendance les chambres d’établissements hôteliers dirigés par Christiane Germain, C.Q., à Montréal et Toronto.
En 2013, elle se lance dans le meuble avec des pièces de son cru, vendues en boutique. La même année, Mme Saint Pierre fête ses 25 ans de carrière en présentant une rétrospective en images de ses collections passées, dans le cadre de la Semaine de la mode de Montréal. Quoi qu’il en soit, toujours et encore, sa notoriété lui servira à soutenir des causes qui lui tiennent à cur, comme l’aide vestimentaire aux enfants démunis, la relève de la mode et la démocratisation de l’art.
Marie St-Pierre a toujours aimé la Floride. Ce n’est pas surprenant qu’elle y aie ouvert une boutique.
Boutique Marie St-Pierre
2311 NW 2nd Avenue
Wynwood, Miami.