Les 4 principaux hebdomadaires Haïtiens édités aux Etats-Unis sont
Haïti en Marche,
Haïti Progrès
Haïti Observateur
Le Floridien.
Si on parlait du ‘Le Floridien’ ;
Le Floridien est tiré généralement à dix mille exemplaires et à environ ???? mille
Le Floridien paraît toutes les deux semaines et verse, à l’instar des autres journaux de la diaspora (les trois principaux hebdomadaires), dans le généralisme. Mais on y lit assez souvent des articles sur des sujets spécifiques qui rencontrent les préoccupations de la communauté Haïtienne de Floride, comme l’immobilier et l’immigration.
« Nous nous mettons également souvent à l’affût d’activités non identifiées par la grande presse et pouvant intéresser notre lectorat, comme un match de foot, un festival », nous a confié son directeur Dessalines Ferdinand.
Les lecteurs les plus fidèles de « Le Floridien » seraient surtout « des professionnels, des gens qui sont arrivés aux Etats-Unis d’Amérique à un âge relativement avancé, avec une certain niveau d’instruction, et qui ont l’habitude de lire les autres hebdomadaires Haïtiens ».
Local exigu, personnel très restreint : il ne faut pas se fier à l’apparence.
Dessalines Ferdinand s’en sort plutôt bien. Le Floridien, c’est sa principale activité.
Pour tenir, le journal mise sur des sponsors (des commanditaires) Haïtiens et, parfois aussi étrangers. Ces derniers ont la garantie que leurs messages publicitaires seront lus, vu que le journal est distribué gratuitement.
Dessalines Ferdinand décrit Le Floridien comme un journal d’opinion qui cultive l’impartialité.
« Nous donnons toujours les deux sons de cloche », martèle-t-il.
D’une revue exclusivement culturelle à ses débuts, Le Floridien s’est transformé en un journal généraliste, parvenant ainsi à élargir son lectorat.
Le Floridien existe depuis bientôt 15 ans. Il est notamment distribué dans trois comtés de l’État de Floride, à savoir Miami Dade, Broward et West Palm Beach. Le Floridien est également consultable sur internet (www.lefloridien.com).
Dessalines Ferdinand estime que sa formation en gestion et (en) comptabilité est pour quelque chose dans la survie, la relative longévité, ou mieux le relatif succès (économique), du journal.