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Une République sous la menace du Coronavirus

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Une République sous la menace du Coronavirus

23Oyez, oyez, frères et soeurs, compatriotes haitiens!

Je suis le Docteur Jean-Mario Pierre, un spécialiste en médecine fonctionnelle et un médium de surcroît.  C’est avec beaucoup d’humilité et un amour profond pour mon peuple et mon pays  que je m’adresse à vous en ce temps fatidique ou notre santé et sécurité collectives sont menacées par la pandémie COVID-19.

Issu d’une famille médiumnique en antichambre avec l’avenir, je me sens doté de la responsabilité de vous prévenir et vous prémunir, en tant que médecin, contre le danger imminent qui plane sur notre pays.

L’ennemi sonne le glas pour notre république. A travers le pays, je crains que des compatriotes couvent le coronavirus en sourdine par peur d’être lynchés.  Attendez jusqu’à ce qu’ils ne pourront plus étouffer ces salves de toux sèche, alors on assistera au déferlement de cas graves de covid-19 .  La pression sera tellement forte sur le système de santé national que les quelques lits et ventilateurs disponibles seront vite dépassés.  L’image d’une apocalypse se déroulera au grand jour et se répandra sur le béton.  Quant à ces ventilateurs, il y a beaucoup de gens qui questionnent le timing pensant à raison que c’est mettre la charrue devant les boeufs dans cette transaction mirobolante.  Ils pensent à juste titre que cet argent aurait pu servir à débroussailler les soucis des gens affamés et déjà compromis, et entassés pil sou pil dans des conditions infra-humaines et sans recours.

Les ventilateurs, je le répète, les ventilateurs ne sont pas un impératif, du moins pour le moment..  De l’avis des spécialistes en la matière,  la plupart des malades placés sous respirateurs pour certaines formes de pneumonies bactériennes, environ 50 % d’eux, meurent.  Dans le cas de COVID-19, La Chine et l’Italie rapportent une mortalité allant de 70 à 80 pour cent suite à ce traitement.

Agissons TET FRET face à cette urgence colossale où des millions de vies sont en jeu.  En l’absence de tout traitement conventionnel, procédons tet fret à l’inventaire de traitements alternatifs probants.  Il y a quelque jours, j’ai fait l’annonce sur  Radio Métropole, comment, utilisant le protocole du Dr Zelenco de New-York, j’ai soigné avec succès mon premier cas de COVID-19.  Il s’agit d’une combinaison de l’hydroxychloroquine à raison de 200 mg par jour, de l’azithromycine 250 mg deux fois par jour et du zinc 50 mg par jour. Le traitement a duré 5 jours mais, depuis le troisième jour, la personne qui se plaignait de dyspnée {difficulté de respirer}, de toux sèche paroxysmale, de fièvre, de céphalée et de courbature, était quasiment rétablie.

Elle n’a fait mention d’aucun effet secondaire à part une diarrhée résiduelle imputable à l’hydroxychloroquine et qui répondra sans doute au probiotique.

Le nouveau coronavirus a bouleversé l’échiquier médical et a sommé la médecine dite scientifique de s’incliner devant l’innocuité des remèdes grand-mère et les anecdotes de guérison qui pullulent dans le social-média.  Ma formation en médecine fonctionnelle me permet de les aborder de façon scientifique et d’extraire pour vous, chers lecteurs, l’essence de ces recettes qui puisse vous être utile dans la lutte contre COVID-19.  Bien sur il ne s’agit pas de traitement à proprement parler, il s’agit tout court de renforcer la défense de l’organisme.  Comme vous le savez les fruits et les plantes recèlent de nutriments, entre autres, les antioxydants qui fortifient le système immunitaire.  Ce dernier semble surprendre les médecins conventionnels maintenant,  mais j’en ai fait mon cheval de bataille pour tous les cas de sida qui semaient la mort, la panique et la misère dans les années 1980 et 1990, tout comme le fait le COVID-19, à la différence que le virus SARS- COV 2 responsable de ce dernier se montre plus théâtral de par son mode de propagation qui n’épargne personne .

On aura beau se laver les mains, porter du masque et des gants, se recouvrir entièrement depuis le ciel jusqu’à terre, se changer les vêtements de sortie à l’extérieur et se précipiter pieds nus dans la salle de bain, revenir avec de l’alcool  sur les surfaces de contact , enfin…enfin… Tellement préoccupé, on ne se rend même pas compte qu’on se met en dette d’oxygène par le port quasi-permanent du masque et que tôt ou tard on devra payer non pas avec ces billets d’argent porteurs de bagage viral, mais avec la souffrance des alvéoles pulmonaires, sa cible- même.  Les alvéoles qui participent à l’échange gazeux entre l’oxygène et le gaz carbonique constituent la porte d’entrée de la vie chez les mammifères, en l’occurrence l’homme.  Si le masque protège en partie contre l’assaut par ce virus respiratoire, il nous prive en même temps de l’oxygène et fait le plein du gaz carbonique, condition idéale non seulement pour l’attaquant mais aussi pour tout ce que cela engendre comme désordre métabolique.  Que faire dans ce cas? Il faut continuer à porter son masque et, en dehors du périmètre de distance sociale, libérer le nez et pratiquer la respiration profonde tout en veillant à ce qu’un exemplaire de ce virus qui faisait la balançoire sur un des poils  en  profite pour faire vol direct vers les alvéoles pulmonaires.  Tracas!  Oui et non.  Oui, si on ne prend pas garde de nettoyer le vestibule des narines régulièrement et y placer par précaution une seconde barrière à l’entrée du nez.  Je propose pour cela d’utiliser un petit film d’iodure.  C’est ce que je fais quand j’y pense… { personne n’est parfaite }Suite page 2

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