Ils étaient nombreux à célébrer la dernière de Pierre Poirier au Thunderbird Restos samedi dernier. Pierre aura fait une bonne job durant ses six mois et la propriétaire Marie Suzie Steiner se félicite d’avoir retenu ses services pour la deuxième année consécutive.
Il y aura bien des changements au Thundebird d’ici octobre. Marie-Suzie ouvre en octobre et espère attirer tous les Canadiens en vacances. Pierre Poirier restera en poste, c’est évident, mais on promet des activités, un nouvel aménagement. La salle se transformera en véritable bar comme à la bonne époque du Frenchie’s à Hollywood. Cette époque était extraordinaire, tout le monde adorait. On y allait et on se connaissait tous
Parmi les nombreux invités aux dernières, mentionnons : Nancy Gauvin, Nathalie Lajeunesse, Daniel Forest, Danielle Asselin, Gilles Berthiaume, Sylvain Noreau, Normand Meilleur, Linda Morin, Cristina Falcone, Denys et Yvonne Courage, Luc D’Arcy, Dorothée Beaudoin et son compagnon Zoltan, Denise et Yvon Lefebvre, Fleurette Beauchamp, Micheline Courville, Michel Haynes, Carole Cloutier, Gilles Lauriault, Mado Falardeau, Jean Michel et sa compagne, Louisette Therrien, Muriel Lortie, Richard Thériault, John Carniel et plusieurs autres.
Du gros fun à l’état pur et noble !
Mais, quand Pierre eut terminé, tout ce beau monde s’est rendu au New Joe’s Kitchen sur la rue Mayo à Hollywood pour aller saluer l’ami Richard Cusson qui, lui aussi, en était à sa dernière soirée de la saison.
Tout comme Pierre, Richard sera de retour en début de novembre. Les visas de travail pour les artistes sont ainsi faits. Ils signent pour six mois La loi du Canada le dit, 183 jours, pas une journée de plus si on ne veut pas perdre les privilèges de l’assurance maladie provinciale ou autres.
Bon été les gars on se revoit l’automne prochain ! Merci pour toutes vos belles soirées, c’était super ! J’ai personnellement beaucoup apprécié.
Mais n’allez pas croire que la vie s’arrête pour autant pour nous, soit ceux qui habitent la Floride à longueur d’année. No way ! On continue. On mettra sans doute la pédale douce, mais on ne s’empêchera pas de fêter, de se voir, de se recevoir et de s’amuser. C’est ce qui nous tient en vie. Si on n’avait pas ça, on serait tous à l’article de la mort, ce serait l’enfer.
On n’a pas de famille ici personne, les amis sont devenus très précieux. Ils sont notre vie, notre raison d’exister On les choisit, on les trie sur le volet pour ne pas se faire avoir par les crosseurs.