C’est toujours l’impasse entre les scénaristes et les producteurs à Hollywood, en Californie, et les deux parties n’en n’arrivent pas à une entente. Une grève qui paralyserait le secteur de la production est inévitable.
La convention collective des 12 000 scénaristes se termine le 1er mai et les négociations ne progressent guère. Le principal point en litige est le versement des droits d’auteur pour les rediffusions à l’étranger ou sur d’autres chaînes, ce qui représente une somme de 227 M$. Or, comme on est présentement à enregistrer des émissions pour l’automne, c’est toute la télévision qui souffrirait de la grève.
Et le public aussi.
On tente, par tous les moyens, d’en arriver à conclure une entente, mais les producteurs jouent durs. Certaines émissions jouent à plusieurs reprises sans que les scénaristes retirent le moindre dollar.
La majorité des acteurs appuient les scénaristes.
Ça brasse beaucoup à Hollywood.
Par ailleurs, Universal Studios, leader côté cinéma du groupe Vivendi Universal, vient de renouveler pour 5 ans l’accord exclusif de disbritubion qui le lie aux studios Dreamworks de Steven Spielberg, Jeffrey Katzenberg et David Gennef.
Avec ce contrat, Universal garde les droits de disbrituion internationaux des films de Dreamworks, les DVD et la musique jusqu’à 2006. Cependant, les personnages et les situations des films de la compagnie pourront continuer à être exploités.
Ça brasse à Hollywood !
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