Une étude sur les habitudes de conduite automobile menée par les autorités new-yorkaises démontre que c’est en Floride et plus précisément à Miami que l’on retrouve les pires chauffeurs des Etats-Unis. Selon l’étude, Miami arrive en tête du peloton, bien avant Phoenix (Arizona), New York (New York), Los Angeles (Californie), Boston (Massassuchesetts), Minneapolis (Minnesota), Nashville (Tennessee), St. Louis (Missouri), Seattle (Washington), et Atlanta (Georgia).
Les conducteurs de Miami sont les plus impatients, les plus stressés, les moins courtois, les plus effrontés et les pires pour développer la rage du volant. Intolérants, toujours pressés, conduisant trop vite, laissant très peu d’espace entre chaque véhicule, n’utilisant pas leurs clignotants, ils n’hésitent pas à faire des doigts d’honneur à tout le monde et même à sortir de leur véhicule pour intimider les autres conducteurs. Ils coupent tout le monde, dépassent à droite, parlent continuellement sur leur cellulaire et conduisent la musique à tue-tête, peu importe si les voisins aiment leur musique ou pas.
Ce n’est certes pas sur la I-95 que les conducteurs sont courtois. La route est bloquée dès 7 heures le matin et le traffic ne dérougit pas jusqu’à vers les 21 heures tous les soirs.
Etre victime d’un fou atteint de rage au volant peut s’avérer catastrophique et nous envoyer directement à l’urgence d’un hôpital. Quand on en rencontre un, mieux ne pas s’obstiner et montrer patte blanche pour rentrer à la maison tout d’un morceau et sans trop de dommages.
Les conseils que donne l’étude pour ne pas devenir une victime d’une personne atteinte de rage au volant :
Toujours se rappeler qu’un fou reste un fou et qu’il vaut mieux se tenir très loin de lui. Ou qu’on soit, le problème reste le même.
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