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Al Gore fumeur de pot

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Le vice-président Al Gore, candidat démocrate à la présidentielle de novembre, obtenait des résultats moyens au high school et à l’université selon des bulletins publiés par le Washington Post.

Al Gore, qui a effectué ses études secondaires dans une prestigieuse école privée de Washington, Saint Albans, a terminé au 25e rang de sa classe qui comptait 51 élèves. Ses résultats étaient médiocres en chimie et en physique, mais bons en anglais et en histoire. En dépit de ces résultats inégaux, il a été admis à l’université de Harvard, l’une des plus prestigieuses du pays.

Les dirigeants de Harvard étaient très impressionnés par le fait qu’il était le fils d’un homme politique, a déclaré au journal un ancien proviseur-adjoint de Saint Albans, John Davis.

Le père d’Al Gore était sénateur. À Harvard, celui qui se présente comme le défenseur de l’environnement n’a obtenu qu’un D et un C-plus en sciences naturelles en 1969 lors de sa seconde année universitaire. Il n’a décroché qu’un C-moins en économie.
« C’est l’année où les camarades de Gore se souviennent de lui comme passant beaucoup de temps à jouer au billard, à regarder la télévision, à manger des hamburgers et à fumer à l’occasion de la marijuana », selon le Post.

Ses résultats se sont cependant améliorés les années suivantes et il a reçu un diplôme avec mention. Al Gore a refusé de commenter ses résultats scolaires.

Gore fumait ses petits joints? Enfin, quelque chose à dire sur Gore. La campagne présidentielle américaine manque tellement de saveur. À l’époque de Clinton, les journalistes avaient quelque chose à se mettre sous la dent avec toutes ses nombreuses conquêtes féminines, mais cette année, c’est le néant.

Gore n’a pas eu tellement de femmes dans sa vie. Il a rencontré Tipper alors qu’il avait 18 ans… et l’a mariée 4 ans plus tard. On ne lui connaît aucune maîtresse, aucune blonde, aucun écart extra marital.

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Journaliste depuis près de 50 ans, Michèle Sénécal a fait ses classes avec des grands du monde de l’édition de l’époque comme Yves Michaud, Jean-Charles Harvey, Edward Rémy, André Robert. Travaillante acharnée, elle a touché à tout dans le métier. Des affaires sociales au milieu du show-business, elle a toujours roulé sa bosse. Durant son parcours, elle a dirigé des publications chez Québecor, collaboré au Journal de Montréal et compte à son actif, quelque 250 histoires d’amour pour les magazines Québecor de l’époque. En semi retraite, elle rédige la chronique Showbiz dans Planète Québec depuis les débuts du magazine et, avec Yvonne Courage, elle a fondé Destination Soleil, un cyber magazine sur la Floride en novembre1999.