Dans le compartiment des premières classes sur un vol transatlantique, un homme semble très nerveux. L’hôtesse remarque que ce passager se ronge les ongles et transpire abondamment. Très prévenante, elle s’enquiert de son état :
– Vous me semblez inquiet Monsieur ; peut-être souhaitez-vous que je vous apporte quelque chose du bar pour vous rendre le voyage un peu moins stressant?
L’homme acquiesce d’un mouvement de tête tout en redoublant de tremblements.
Quelques secondes plus tard, l’hôtesse revient avec un verre de whisky. Le passager se l’enfile d’un trait et arrête aussitôt de trembler et de transpirer.
Une heure plus tard cependant, le passager se remet à trembler, à se ronger les ongles et à transpirer. Sans rien demander cette fois, l’hôtesse lui apporte un autre verre de whisky que l’homme avale d’un trait avec un sourire béat, l’air visiblement soulagé.
Mais une heure plus tard, rebelote : le gars est à nouveau en train de trembler et cette fois il semble même pleurer.
– Monsieur, je crois que vous avez besoin d’un tranquillisant! Je n’ai jamais vu quelqu’un être autant stressé en avion.
– Mais je n’ai pas peur de l’avion, avoue le passager dans un sanglot.
– Mais qu’est-ce qu’il y a alors?
En s’effondrant en larmes, le passager avoue:
– J’essaie d’arrêter de boire!
Deux flics
Deux flics sont en faction un soir à un carrefour, lorsqu’ils voient arriver une voiture roulant en zigzaguant dangereusement. Les deux fonctionnaires interceptent le véhicule rebelle et, s’approchant de la voiture, se présentent, conformément au règlement :
-Bonsoir monsieur, Police Nationale !
Le mec à l’intérieur, complètement bourré, répond par la vitre ouverte :
– Bah tant pis pour ta gueule, t’avais qu’à mieux travailler à l’école!