Un type entre dans une animalerie, fait un tour et passe devant un perroquet sans pattes.
Il dit tout haut
» eh ben, qu’est il arrivé a ce perroquet ? ».
» Je suis né comme ça « , dit le perroquet.
» Eh, on dirait qu’il a compris ce que je disais et qu’il a répondu »
» Je comprends chaque mot. Je suis terriblement intelligent et très cultivé. »
» Ah ouais ? Et bien explique moi comment tu tiens sur ta perche »
» C’est à dire … c’est un peu embarrassant … comme je n’ai pas de pattes, je me sers de mon petit zizi de perroquet comme d’une sorte de crochet. Tu ne peux pas le voir à cause de mes plumes. »
» Wow, dit le gars, alors comme ça, tu peux vraiment comprendre et répondre à ce qu’on te dit ? »
» Bien sur. Je parle couramment français et anglais et peux tenir une conversation sur des sujets divers : politique, religion, économie, physique, philosophie … Bien sur, je suis assez calé en ornithologie. Tu devrais m’acheter, je serais un compagnon très agréable. »
Le gars regarde le prix » 14.000 balles, c’est cher mais effectivement, tu vaux ton prix »
Il rentre chez lui. Les semaines passent et le petit perroquet est fantastique. Il est amusant, intéressant, un bon copain, il comprend tout, compatit avec les problèmes de son maître et est de bon conseil.
Un jour, le type revient du boulot. Le perroquet, en dessous du fauteuil, l’appelle » Psst « . Il approche et le perroquet dit à voix basse :
« Je ne sais pas si je devrais te dire ça mais ta femme et le facteur… »
» Quoi, ma femme et le facteur ? »
» Chuuut. Eh bien, quand il est passé ce matin, ta femme lui a ouvert, vêtue seulement d’une chemise de nuit quasi transparente, l’a fait entrer et elle l’a embrassé sur la bouche. »
» Quoi ? Et puis, qu’ont ils fait ? »
» Il a soulevé sa chemise de nuit et l’a caressée sur tout le corps… »
» Hein ? Et puis, qu’a-t-il fait ? »
» Il a commencé à lui lécher les seins, puis le ventre, puis s’est mis a genoux et lui a embrassé le bas-ventre … »
» Quoi ? Et puis ? Qu’a-t-il fait ? Réponds ! »
» … Je ne sais pas, j’ai commencé à bander et je suis tombé. »
Par Jean-Pierre