Motumbo, un Africain, émigre illégalement en Angleterre. Au hasar de ses soirées, il rencontre Mary, fille d’un homme d’affaires renommé. Ils tombent en amour. Follement.
Motumbo se rend chez le père de Mary pour lui demander la main de sa fille. Ce dernier ne dit pas non, mais il met des conditions.
– Tu devras te soumettre à 3 épreuves. Si tu réussi, la main de ma fille est à toi. D’accord?
– D’accord.
– Premièrement, Motumbo, tu vas partir aux USA pour me ramener un MBA. Tu as deux ans pour réussir cette épreuve.
Motumbo partit donc à Harvard et y passa environs 6 mois, durant lesquels il élut domicile dans la Bibliothèque tant ses études le motivaient et surtout ce qui l’attendait au bout (MARY???)…
Au bout de 6 mois, il ramena le diplôme du MBA à son futur beau-père. Et, il lanca la phrase suivante au père de Mary :
– Si Motumbo aime, Motumbo étudie.
Le beau-père n’a pas bronché mais il était impressionné par un tel talent.
– Maintenant, tu dois, ailleurs qu’en Angleterre, gagner un minimum d’un million de dollars au cours des douze prochains mois. D’accord?
– Oui patron.
Fort de ce qu’il avait appris à Harvard, Motumbo s’envole pour Wall Street où il veut jouer à la Bourse. Son flair est tel qu’il rentre à Londres après quelques mois à peine, le compte de banque garni de plus d’un million de dollars.
– Si Motumbo aime, Motumbo travaille dit-il au père de Mary.
– Maintenant, dit le père de Mary, pour obtenir la main de ma fille, ton pénis doit mesure un mètre de long.
– O Non! dit Motumbo en grimaçant. O Non! O Non!Mais si Motumbo aime, Motumbo coupe!