Cette blague, faut la raconter en chantonnant. Surtout pour le personnage A.
Il y a un gars, Monsieur A qui va dans une pharmacie.
Monsieur A (ou M.A) :
– Bon-onjour monsieur.
Le pharmacien :
– Bonjour monsieur que souhaitez vous?
M.A :
– Je voudrais…..rais ais…… des Asprots…. HoHOOOOO.
Le pharmarcien :
– Pas de problème, en poudre ou effervescent???
M.A :
– En pouou.ou…OUOUDRE….(Musical)
Le pharmacien qui commence à perdre patience, prend son client par la cravate et le soulève de terre puisqu’il a un mètre de plus que lui :
– Vous vous foutez de ma gueule???? (Il crie fort et vraiment il perd patience.)
M.A (tout en chantant il explique):
– Paas DUUU tout… figuréééée vousouou… Quand…an… J’étais petiiiii iii iiii. C’était pendant en an-an la guerre èèrre… On devait ai ai me faire une piqure ure ure et et et on me l’a fai fé fée avec une aiguille de gramophone et éééé depuis ce temps-là je garde des séquelles éèles….
Le pharmacien le lâche et redevient calme et lui dit :
À ben alors c’est bizarre… Moi aussi quand j’étais petit et pendant la guerre, on m’a fait une piqure avec une aiguille de gramophone et pourtant je n’ai pas de séquelles …
et pourtant je n’ai pas de séquelles…
et pourtant je n’ai pas de séquelles…
et pourtant je n’ai pas de séquelles…
et pourtant je n’ai pas de séquelles…
et pourtant je n’ai pas de séquelles…
Un envoi de Romain de St-Georges d’Orques, en France, près de Montpellier
Le mauvais sort
L’homme est persuadé qu’on lui a lancé un mauvais sort et, depuis quelques années, il fait le tour du monde pour trouver un remède.
Un jour, on lui parle d’un sorcier qui habite un petit village au fond de la jungle africaine qui, paraît-il, a des pouvoirs quasi surnaturels.
Après trois jours de pirogue, il arrive au village. Il demande à rencontrer le sorcier. On le fait patienter pendant six jours…
Enfin, on le dirige vers le vieil homme.
-Que puis-je faire pour toi?
-On m’a lancé un sort et je cherche depuis cinquante ans à m’en défaire.
– Je peux t’aider.
– Je te donnerai tout ce que tu veux.
– Bon, pour y arriver, tu dois me dire les mots exacts qu’on a utilisé pour te lancer le sort.
– Oh, je m’en souviens très bien… « Maintenant vous êtes mari et femme »
😉