Un damné téléphone de l’enfer à un copain bienheureux qui a mérité le Paradis :
– Bah… Ici, cela ne va pas trop mal. Comme on est très nombreux, on travaille à relais deux ou trois heures par jour, pour allumer les feux. Le reste du temps, on se la coule douce.
Et toi, au Paradis, comment va?
– Ne m’en parle pas, répond l’autre. Un travail fou;
on se lève à six heures, on se couche à minuit.
Je n’en peux plus!
– Mais comment, comment cela se fait-il?
– C’est à cause de la main d’oeuvre! Il n’entre jamais personne ici!
Hé! Hé! Je rentre d’Acapulco. J’étais en vacances un groupe de collègues du bureau. La grande Nicole était avec nous. J’avais jamais remarqué, mais elle est maigre une affaire épouvantable.
Tellement maigre que le soir, après une journée à se faire cuire au soleil, elle a des brûlements d’estomac…