Bonheur à vendre
Un petit garçon traverse le quartier « hot » de la ville en voiture avec son papa.
» Dis papa, qu’est-ce qu’elles font les dames sur le trottoir? »
Embarrassé, le père s’en tire par une pirouette :
» Elles vendent du bonheur. »
Une fois à la maison, le gamin se dit qu’il en achèterait bien un peu de bonheur. Il casse sa tirelire, prend son billet de $20 et sors de la maison pour aller voir les dames. Une fois rendu dans la bonne rue, il se dirige
vers la première dame, lui tend le billet et lui demande un peu de bonheur.
La professionnelle est un peu décontenancée. Elle évite depuis longtemps toute infraction à la loi mais d’autre part elle ne peut cracher sur $20 en ces temps de crise. Elle ramène le gamin chez elle et lui prépare trois tartines avec une bonne couche de Nutella.
Enfin, le gamin rentre chez lui, où ses parents inquiets lui demandent où il était passé. Il regarde son père et lui dit qu’il était parti acheter un peu de bonheur auprès des dames qu’il lui avait montrées de la voiture.
Horrifié, le père lui demande ce qui s’est passé et le gamin répond :
» Pas de problème avec les deux premières mais pour la troisième je n’en pouvais plus, alors je l’ai seulement léchée… »
!!!!!!!
Chaleur humaine
Un prêtre et une soeur sont dans une tempête de neige.
Au bout d’un long moment, ils trouvent une petite cabane.
Extenués, ils se préparent à dormir.
Il y a une pile de couvertures et un duvet sur le sol, mais seulement un lit. En gentleman, le prêtre dit :
» Ma soeur, vous dormirez dans le lit, et je dormirai sur le sol, dans le duvet. »
Alors qu’il venait juste de fermer son duvet, et commençait à s’endormir, la soeur dit :
» Mon père, j’ai froid. »
Il ouvre la fermeture de son duvet, se lève, prend une couverture et la pose sur elle. De nouveau, il s’installe
dans le duvet, le ferme et se laisse sombrer dans le sommeil, quand la nonne dit encore :
» Mon père, j’ai toujours très froid. »
Il se lève à nouveau, met une autre couverture sur elle et retourne se coucher. Juste au moment où il ferme les yeux, elle dit :
» Mon père, j’ai siiiiii froid. »
Cette fois, il reste couché et dit :
» Ma soeur, j’ai une idée : Nous sommes ici au milieu de nulle part, et personne ne saura jamais ce qui c’est passé. Faisons comme si nous étions mariés. »
Enfin exaucée, la soeur répond :
» Oh! Oui, c’est d’accord. »
Et le prêtre crie :
» ALORS LÈVE TON CUL, VA CHERCHER TA MAUDITE COUVARTE !