Visa HB-1
Ce visa est un visa réservé aux professionnels. Vous devez trouver avant tout un employeur prêt à vous employer et à faire la demande de visa pour vous.
> Ce visa est bon pour trois ans. Pour vous qualifier vous devez avoir
– quatre ans d’université ou 12 ans d’expérience professionnelle dans un domaine particulier en relation avec l’emploi que vous voulez obtenir aux États-Unis.
– L’immigration accepte aussi une combinaison d’expérience professionnelle et d’années d’étude.
> Ce visa est ce que l’on entend souvent dire un parrainage, en anglais sponsor.
Si vous avez l’expérience requise ou les diplômes exigés, il vous faut donc trouver l’employeur. Quand vous cherchez un emploi, il est important de préciser à votre futur employeur que, même si il ou elle a signé les papiers d’immigration pour votre visa, ce n’est par pour autant qu’il est tenu de vous engager une fois le visa obtenu. C’est donc en quelque sorte l’employé qui prend tous les risques et non pas l’employeur.
Une fois que vous avez obtenu ce visa, vous pouvez entreprendre les démarches pour la Carte Verte (Green Card).
Source : Les Chroniques de Marcelle Poirier
Avocate spécialisée en immigration
Miami : 305.854.4445
Montréal : 514-448-7520
Les chroniques de Marcelle Poirier
Industrie à la baisse
Les cultures de la principale région productrice d’oranges aux Etats-Unis sont victimes d’une maladie affectant les plants d’agrumes.
A New York, les prix du jus d’orange concentré congelé ont dépassé début mars la barre de 1,50 dollar par livre et s’y maintiennent. Il s’agit de leur plus haut niveau depuis l’été 2013. Ils ont gagné 21 % depuis le début de l’année. La baisse conjuguée de la production d’oranges et de celle de jus d’orange aux Etats-Unis tire les prix à la hausse. Le pays est le troisième producteur mondial d’oranges et le deuxième producteur mondial de jus d’orange.
D’après le département américain de l’Agriculture (USDA), la récolte d’oranges de la Floride devrait être, cette année, la plus faible depuis la campagne 1984-1985. Elle reculerait de 18 % sur un an. 70 % de la production américaine d’oranges provient de la région. Les cultures sont victimes du citrus greening, une maladie qui empêche l’absorption de nutriments suffisants et ralentit la croissance des fruits.
Le taux de perte enregistré en Floride devrait être cette année le plus élevé en cinquante ans. Cette maladie, également répandue au Brésil, conduit à une baisse prématurée de la production de fruits, et en modifie les propriétés organoleptiques.
Le Brésil, premier exportateur mondial de jus d’orange, ne serait pas forcément en mesure de prendre le relais des Etats-Unis. En janvier dernier, l’USDA tablait sur des hausses de la production d’oranges et de jus d’orange dans le pays entre les campagnes 2012-2013 et 2013-2014, respectivement estimées à 8 % et à 18,5 %. Ces gains, aussi impressionnants soient-ils, font suite à des reculs de la production d’oranges de 20 % et de 23 % pour le jus d’orange au cours de la campagne précédente. La sécheresse qui affecte le pays depuis le début de l’année pourrait, de plus, contrarier ces prévisions. « Le Brésil va-t-il prendre le relais des Etats-Unis ? », s’interroge ainsi Commerzbank.
La production d’oranges et de jus d’orange de la Chine et de l’Union européenne serait orientée à la hausse en 2013-2014. Ces deux producteurs demeurent avant tout des importateurs. La Chine doit ainsi acheter la moitié des volumes de jus d’oranges consommés. « Nous pensons que l’offre aux États-Unis et les préoccupations concernant la réduction de la production brésilienne continueront à soutenir les prix pour le moment », indique à usinenouvelle.com Michaela Kuhl, analyste pour la banque allemande. A long terme, l’attention portée par les consommateurs à la teneur en sucre des produits pourrait accélérer la baisse de la consommation de jus d’orange déjà constatée aux Etats-Unis et dans l’Union européenne, ajoute-t-elle.
Buf haché au four
1 lb boeuf haché mi-cuit
1 oignon, gros mi-cuit
1 pomme de terre mi-cuite
1 conserve (19 oz) de tomates
Sel, au goût
Poivre, au goût
Beurre, au goût
Préchauffer le four à 350°F 180°C.
Dans un plat allant au four, déposer une rangée d’oignons en rondelles, une rangée de boeuf émietté puis une rangée de pommes de terre en tranches. Répéter.
Déposer de petits morceaux de beurre, saler et poivrer.
Terminer en versant les tomates.
Cuire au four, découvert, à 350°F entre 1h00 et 1h30.
Investir en Floride
Investir en Floride comporte plusieurs avantages, surtout au plan financier.
Il est en effet possible de déduire des revenus américains tous les frais liés à l’investissement : intérêts des emprunts, qu’ils soient réalisés en Floride ou ailleurs, impôt fonciers, frais divers : entretien, assurances, frais de gestion, réparations, frais comptables ou publicitaires. Il est même possible de déduire de ses revenus, le coût du billet d’avion lorsque l’investisseur se rend sur place pour voir son bien; seuls les frais engendrés en Floride et liés à l’investissement sont déductibles.
Vous voulez investir et partir en affaires en Floride? Un bon agent immobilier saura vous accompagner dans un investissement particulier : Investir dans les orangeraies en Floride. C’est un marché porteur (la Floride avec ses orangeraies est l’un des premiers producteurs mondiaux d’oranges), l’environnement et surtout les conditions climatiques se prêtent parfaitement à la culture de cet agrume. Avec de nouvelles technologies, les rendements ont augmenté en permettant d’effectuer des marges bénéficiaires très profitables pour les investisseurs ayant misé sur les agrumes.
La Floride offre de multiples possibilités, à vous de choisir.
Agents immobiliers
Pompom aux Etats
Vous voyagez avec votre chien ? Attention, les règles ont chanté., En effet, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont récemment apporté des changements à leur politique concernant l’entrée ou l’importation de chiens aux États-Unis.
Le gros du changement entoure le vaccin contre la rage. Dorénavant, ce vaccin est requis pour tous les chiens entrant aux États-Unis en provenance d’un pays où la rage est présente, ce qui inclut le Canada. À noter que le vaccin contre la rage n’est pas (encore) requis pour les chats.
Le vaccin doit être administré au moins un mois avant l’entrée aux États-Unis et doit être à jour. Comme les chiots ne peuvent pas être vaccinés contre la rage avant l’âge de trois mois, le plus jeune chiot pouvant maintenant être importé aux États-Unis est âgé d’au moins quatre mois. Avant, un chiot de moins de quatre mois ne posait pas de problème, mais ce n’est plus le cas.
Les CDC ont aussi éliminé un formulaire que pouvaient remplir les propriétaires et/ou les éleveurs si leurs chiots ne satisfaisaient pas aux exigences relatives à la rage. La règle est donc plus stricte. Ce règlement s’applique aussi aux animaux «en service» comme par exemple, les chiens de police ou les chiens pour aveugle.
Le maître du chien entrant aux États-Unis doit avoir en sa possession un certificat de vaccination valide et à jour. Celui-ci doit inclure:
Le nom et l’adresse du propriétaire;
Les informations relatives au chien: nom, âge, race, couleurs, etc.;
La date du vaccin contre la rage et l’information concernant le produit administré;
La date à laquelle le vaccin doit être renouvelé (date de rappel);
Le nom, l’adresse, la signature et le numéro de licence du vétérinaire.
Votre chien doit aussi être en santé et surtout exempt de maladies infectieuses. Ainsi donc, il pourrait être sujet à une «inspection» officielle de la part d’un vétérinaire au point d’entrée du pays s’il semble malade aux yeux du douanier
La nourriture de votre chien doit être dans un emballage commercial d’origine canadienne ou américaine et non ouvert (scellé).
Toute nourriture pour chien contenant de l’agneau, du mouton et de la chèvre est interdite.