Miami:Numero Uno
En 1999, les Hispaniques classaient Miami au 24e rang des villes les plus agréables à vivre pour leur communauté. Avec une population à 66% hispanique, Miami est Numero Uno pour le plus grand plaisir du maire qui se félicite d’avoir écouté les conseils qui fusaient de toutes parts.
Pour les Hispaniques, Miami est la terre promise, la ville où il est permis de gagner sa vie, de brasser des affaires, d’étudier et de se bâtir un avenir. Miami est la porte d’entrée de l’Amérique latine, une grosse ville grouillante d’activités culturelles et sportives où le taux de criminalité continue de baisser d’année en année.
66% hispanique pas surprenant que tous les Américains retournent sur les bancs d’école apprendre l’espagnol A ce rythme, dans dix ans, il sera impossible de se trouver une job a Miami si on ne maîtrise pas l’espagnol.
1 milliard
Le légendaire hôtel Fontainebleau de Miami Beach est en pleine rénovations et si les travaux vont bon train, on s’inquiète un peu des coûts évalués à plus de un milliard de dollars. Non seulement les 1500 chambres sont rénovées de fond en comble, mais on s’attaque également aux salles de bal, bars, restaurants et cuisines. On discute même sur la couleur du papier de toilette à installer dans les salles de bain et les toilettes. En fait, il semble que seule la structure de l’hôtel de 30 étages ne soit pas rénovée, tout l’intérieur du Fontainebleau est en chantier.
La partie principale de l’édifice construit par Morris Lapidus en 1954 a été fermée une bonne partie de l’été. Une autre partie de l’hôtel sera convertie en luxueux condos. Le nouveau Fontainbleau comptera 1 504 chambres et suites, 11 restaurants et salons de détente, deux endroits chics et énergétiques pour les rendez-vous de fin de soirée, un spa de deux étages et de 40 000 pieds carrés, une piscine avec terrasse chaleureuse, une plage magnifique et une grande surface d’installations et services pour la tenue de réunions et conférences.
Rendu célebre par le tournage du film Bodyguard le Fontainebleau est un hôtel très confortable et très bien coté. La piscine de l’hôtel, aménagée au septième étage, est entourée d’une terrasse lumineuse en béton blanc et surplombe Miami Beach. Des repas, des collations et des boissons tropicales sont disponibles pendant la journée. Les suites sont équipées d’un balcon meublé avec vue panoramique sur l’eau ou sur la ville. Elles sont également pourvues d’un téléviseur à écran ACL de 32 pouces, d’un bain à remous en marbre, ainsi que d’une cuisine ou cuisinette avec comptoirs en granit.
Mises à pied
A compter du 1er octobre, on ne verra plus aucun avion de la United Airlines aux aéroports de Fort Lauderdale-Hollywood et Palm Beach. Du même coup, une centaine d’employés perdent leur job.
La raison en est bien simple. L’augmentation du prix de l’essence force la compagnie à concentrer ses efforts sur un seul et unique aéroport, soit celui de Miami. La conjoncture économique force des milliers d’Américains à changer leurs plans de voyage ou même à rester à la maison. L’essence coûte cher ce qui entraîne une hausse dans tous les produits et en force plusieurs à se restructurer. Plusieurs vols domestiques subiront des transformations majeures quand ce n’est pas carrément l’arrêt du service.
Plus tôt en saison, la United Airlines a coupé 1200 jobs dans le sud des Etats-Unis et la purge n’est pas terminée. Northwest Airlines a également annoncé des suppressions de postes en raison des coûts élevés du carburant.
Le transporteur américain va éliminer 2500 postes ou 8% de son effectif. Par ricochet, la disponibilité des vols va chuter de 8,5% à 9,5% lors de son quatrième trimestre. Il s’agit d’une économie de 250 à 300 M$ par année.
Ces suppressions devraient être effectives à la fin de l’année.
Pour Northwest, comme pour les transporteurs aériens, le prix du carburant est en train de devenir un véritable casse-tête. «Nos dépenses en carburant ont plus que doublé en un an», a fait valoir le PDG de Northwest, Doug Steenland. Les réductions d’effectifs envisagées se feront autant que possible via des départs volontaires, a précisé la compagnie. Elles s’appliqueront aux personnels travaillant sur des liaisons qui vont disparaître.
Northwest Airlines va également imiter ses concurrentes et imposer une taxe de 15$ au premier bagage. Le transporteur emploie 31 000 personnes et prévoit fusionner avec Delta Air Lines. Du côté d’American Airlines, c’est 1300 mécaniciens et 200 cadres qui perdent leur emploi d’ici 2009.
Dans le domaine de l’aviation et des voyages, l’avenir s’annonce plutôt sombre. On prévoit que 55 000 employés perdront leur emploi à plus ou moins brève échéance. Au Canada, Air Canada a annoncé la mise à pied de 632 agents de bord et c’est loin d’être fini. Air Canada a l’intention de couper 2000 postes dans les mois à venir. De son côté, JazzAir a supprimé 300 emplois en juin.
Congédiement
Il est tout à fait normal pour les résidants de la Floride d’avoir une arme avec soi. C’est légal et la moitié de la population ne se promène pas sans une arme cachée dans la voiture ou la maison. A Disneyworld, la direction du personnel avait décidé de conrter la loi et de défendre à ses employés de se présenter au travail avec une arme, même si elle restait cachée dans le fond de l’auto.
Malheureux de cette décision, un employé du Disney’s Animal Kingdom de 36 ans est quand même arrivé au travail avec une arme dans l’auto, arme qui a été détectée par les agents de sécurité de Disney. Informés de l’insubordination de l’employé la direction avait décidé de le suspendre sans salaire en juillet. Son cas s’est empiré par la suite alors qu’à son retour au travail, il a refusé de laisser les gardiens de sécurité fouiller son auto. Quelques heures plus tard, Edwin Stomomayor quittait Disney à jamais. On l’avait carrément congédié.
La direction justifie son geste en allégeant l’insubordination de l’employé et en déclarant qu’à Disney, personne ne devait se promener avec une arme. Même si l’arme en quesiton est dans le parking de la compagnie.
Tomates feta
Il faut calculer une ou deux tomates par personne.
4 tomates fermes et mûres coupées en quartiers
1/3 livre de feta
olives noires dénoyautées
4 c. à soupe d’huile d’olive vierge
marjolaine
sel et poivre
Couper les tomates en quatre en conservant la base.
Prélever la chair et hachez-la finement, salez et poivrez
Déposer dans le fond de la tomate une bonne cuillerée de la purée
Conserver le reste pour un potage ou une sauce
Défaire le fromage feta à la fourchette en y incorporant l’huile d’olive.
Hacher finement les olives et les incorporer au fromage.
Ajouter un peu de marjolaine ciselée.
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