Le panier d’épicerie augmente
Qu’on se le dise une fois pour toutes. Le panier d’épicerie va encore grimper selon le directeur de l’Institut de l’Agriculture de la Floride.
Tout ça à cause de l’essence. Les coûts du transport des merchandises ont considérablement augmenté et les agriculteurs qui défraient ces coûts, refileront la facture aux consommateurs. L’augmentation du pétrole a fait grimper les coûts de production de 13% ces dernières semaines, il faut donc s’attendre à payer nos denrées alimentaires beaucoup plus cher dans les prochains mois.
Mais il n’y a pas que le pétrole qui soit en cause. Il en coûte de plus en plus cher aux agriculteurs pour nourrir les bêtes et le gouvernement devra trouver une solution équitable pour tout le monde. Les agriculteurs n’arrivent plus à joindre les deux bouts et se plaignent du manque de resources.
Opera Gallery Miami
Shuang est exposée à Miami! trois toiles dans un accrochage collectif de OPERA GALLERY, à Bal HARBOUR, l’un des plus prestigieux centre commercial des Etats-Unis, Opera Gallery Miami offre une sélection permanente d’une cinquantaine d’artistes de renom au centre de la FLORIDE, berceau de l’art Sud americain.
Assisté par des experts en Art, vous naviguerez entre pièces de maîtres et oeuvres contemporaines européennes et internationales.
Opera Gallery Miami est ouvert de 10H00 à 21H00 du Lundi au Samedi De 10H00 à 19H00 le Samedi et de 12H00 à 18H00 le Dimanche. 9700 Collins Avenue. BAL HARBOUR, FL 33154
Tel : (1) (305) 868 3337
Enlève ton foulard
Un peu partout dans le monde depuis quelques mois, un vent antisémiste s’élève. A Boynton Beach, une jeune musulmane de 12 ans a été agressée par ses camarades de classe qui l’ont surnommée Osama faisant ainsi reference à Bin Laden et le terrorisme.
Comme tant d’autres, la jeune fille a été insultée à cause de son foulard islamique que ses camarades se sont empressés de lui enlever en la giflant en plein visage.
Depuis quelques mois, les jeunes musulmanes ne sont pas tellement populaires auprès des étudiants américains qui ne veulent rien savoir des us et coutumes de leur pays et encore moins du foulard islamique.
Il serait sans doute beaucoup plus sage de laisser les décorations oy symbols religieux à la maison et ne jamais mêler l’école et la religion. C’est ce qui se fait en France et c’est beaucoup mieux comme ça.
On se traîne les pieds
Une citoyenneté appartient toujours au pays qui nous l’a accordée et de ce fait, peut être retirée en tout temps.
C’est ce qui arrive à Ibeana Fuster une citoyenne native du Honduras arrivée en Floride en 1985 et possédant un dossier judiciaire pour abus de pouvoir et sévices sexuels à des enfants.
Foster reste introuvable depuis des mois, voire des années. Limmigration la cherche partout, en Floride, aux Etats-Unis au Honduras. Tout ce que l’on sait c’est qu’elle vit maintenant sous le nom de Illana Sofia Morales et qu’elle a menti aux agents en omettant d’avouer son dossier judiciaire.
Tout de même bizarre qu’aucun agent de l’ordre n’ait réussi à lui mettre la main dessus Vouloir reprendre une citoyenneté déjà accordée mais ne pas trouver la citoyenne en question reste un mystère pour plusieurs.
Quelque part, quelqu’un se traîne les pieds.
Les aînés surfent
Il y a deux ans, tannés de se faire répéter par leurs petits-enfants qu’ils ne connaissaient rien aux ordinateurs, les aînés de la région de Tampa sont retournés sur les bancs d’école et ont appris à surfer.
Ca n’a pas été compliqué. Tout a commencé modestement avec des gens qui savaient déjà utiliser un ordinateur et des salles de cours des écoles avoisinantes. Mais tout est allé très vite. Tout le monde voulait apprendre. La liste d’attente s’allongeait indéfiniment. Si bien que quelques semaines plus tard, les cours duraient 8 semaines et se donnaient au Florida Kinship Center à l’Université de South Florida.
Ca n’a guère changé. La demande est toujours aussi forte. Les gens veulent apprendre. Pas simplement à envoyer du courrier, mais tous les rudiments de l’ordinateur, tous les programmes. Les aînés fréquentent beaucoup les chat rooms et paraît qu’ils sont des fervents adeptes du magasinage en ligne.
On a beau avoir dépassé largement la soixantaine, on n’arrête pas de vivre pour autant.