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La taxe de vente Biscuits au coconut Bal Harbour Disney coûte cher

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La taxe de vente
La taxe de vente américaine s’applique sur les biens ou services qui sont destinés à la consommation au détail quand ils ont atteint leur forme finale, et non sur la valeur ajoutée. Cela signifie qu’il n’y a pas de taxes sur l’achat de gros, de produit brut et non fini, dans la perspective où un intermédiaire remettra les produits en vente sur le marché de détail. La taxe sera appliquée une seule fois lors de la vente ou location de biens ou services au consommateur.

Chaque État gère sa propre taxe de vente et établit un seul taux qui sera appliqué à travers toute la région. Cependant, la taxe de vente totale payée par l’acheteur n’est pas identique sur tout le territoire de l’État américain. Les régions géopolitiques telles les juridictions, municipalités, villes ou comtés, peuvent imposer une taxe additionnelle qui s’ajoute à la taxe d’État. Dépendamment du lieu où vous achetez le produit, il peut y avoir une taxe d’État et une taxe locale.

Les produits ne sont pas tous taxés également. L’épicerie, les vêtements, les médicaments prescris et non prescris peuvent être exemptés dans certains États. La nourriture déjà préparée, le gaz, l’alcool et le tabac peuvent de leur côté posséder des taux différents, normalement plus élevés que la taxe générale régionale.

Il existe donc une multitude de taux de taxe de vente différents sur le territoire américain, mais vous pouvez, à l’aide de ce calculateur, avoir une estimation proche de la taxe régionale et les produits qui en sont exemptés. D’abord, en choisissant un État américain, ce simulateur calcule la taxe exacte d’État sur le prix de vente. Par la suite, il vous donnera un apercu de la taxe locale additionnelle, en indiquant la moyenne de toutes les surtaxes retrouvées dans l’État choisi, ainsi que le taux maximum que vous pouvez rencontrer.

En Floride, la taxe de vente est de 6%.

Biscuits au Coconut
250 ml (1 tasse) de noix de coco râpée non sucrée
125 ml (1/2 tasse) de sucre
15 ml (1 c. à soupe) de farine tout usage non blanchie
1 blanc d’œuf
1 pincée de sel
2,5 ml (1/2 c. à thé) d’extrait de vanille

Placer la grille au centre du four. Préchauffer le four à 180 °C (350 °F). Tapisser une plaque de cuisson de papier parchemin.
Dans un grand bol, mélanger tous les ingrédients. Ajouter 1/2 blanc d’œuf au besoin.
Avec les mains légèrement humides, façonner des boules avec environ 30 ml (2 c. à soupe) de préparation pour chaque biscuit. Déposer les boules sur la plaque sans qu’elles se touchent. Les aplatir légèrement.
Cuire au four environ 10 minutes ou jusqu’à ce que les biscuits soient dorés. Laisser refroidir sur la plaque.

Bal Harbour Shops
On a surnommé Bal Harbour, le Village. Beau, chic, élégant, un tantinet snob, Bal Harbour est une splendeur en soi.

C’est à ce Village que les grands de ce monde logent. Le Village est petit, mais le centre commercial à lui seul vaut le coup d’œil. C’est là qu’on peut faire du shopping sans argent et sans carte de crédit à condition d’être parmi les grands de ce monde, donc d’être connus et reconnus. Les prix sont exorbitants, la marchandise de grande qualité, portant la griffe des plus grands couturiers du monde entier. À Bal Harbour Shops, un nom vaut de l’or.

Quand on veut faire du beau lèche-vitrines, s’attarder à un beau petit bistrot et flâner par un bel après-midi, c’est l’endroit idéal et ça fait rêver…Bal Harbour Shops,
9700 Collins Avenue,
Bal Harbour, FL

Disney coûte cher
Un petit voyage à Disneyworld n’est pas donné. Désormais, il faudra débourser $99. Par jour pour passer les tourniquets du Magic Kingdom. Ceci en devises américaines bien entendu. Avec la forte baisse du huard, les Canadiens y penseront sans doute deux fois avant d’emmener la famille à Disney. Une nouvelle augmentation de 4 dollars, après celle de 6 dollars en 2013. Depuis 1970, le prix d’entrée dans le 3e site le plus visité du monde a été multiplié par cinq, souligne Quartz.

Le site USA Today retrace année par année cette escalade des prix aux Etats-Unis, notamment au travers de plusieurs graphiques:
Et attention: une hausse de prix peut en cacher une autre. Quelques jours après Disney, Universal Orlando, autre parc de la ville, en a profité pour passer ses tickets d’entrée à 96 dollars. Quand cette course s’arrêtera-t-elle? Certainement pas tant que les visiteurs afflueront par centaines de milliers chaque jour. S’il y a une augmentation de la demande, il y aura une augmentation du prix assure Robert Niles, journaliste et fondateur du site Theme Park Insider. C’est la loi de l’offre et de la demande.
Mais dans une ville qui compte une dizaine de parcs à thème, on aurait pu penser que les lois de la concurrence pouvaient elles aussi jouer. Pour attirer davantage de visiteurs, chaque entreprise a d’habitude tendance à pratiquer des prix plus bas que ses concurrents. Mais c’est sans compter l’argent que sont prêts à dépenser les visiteurs à Disney World ou Universal.

Les parcs d’attraction bénéficient d’une «demande inélastique» par rapport au prix, explique Andrew Busch, contributeur chez CNBC. Pour résumer, la demande reste stable, voire augmente même si les prix sont en hausse. «Un jour viendra peut-être où les parcs à thème connaîtront un retour de bâton de la part des visiteurs, qui refuseront de payer toujours plus cher pour passer un jour chez eux. Mais ce jour n’est pas près d’arriver», peut-on lire sur le site de Time Magazine.

Signe des temps et d’austérité, en France en revanche, la fréquentation des parcs d’attraction est en baisse. Disneyland Paris a perdu plus d’un million de visiteurs par rapport à 2012. Le Parc Astérix et le Futuroscope ont également vu leur nombre de visiteurs se réduire. Les prix, eux, ne diminuent pas pour autant: il faut compter tous les ans quelques euros de plus pour passer la journée dans le monde de Mickey. En 2013, l’entrée pour un jour en semaine est par exemple passée de 35 euros à 39 euros. Peut-être peut-on cependant attribuer ces hausses de prix à une fréquentation record du parc en 2012, soit l’année précédente, à l’occasion des 20 ans du complexe.

Peut-être bien, mais chose certaine, en France comme aux USA, les tarifs augmenteront.