Clinique de passeport
En collaboration avec Natbank, il y aura une clinique de passeport cette semaine tenue par le Consulat général du Canada à Miami.
Date: 16 octobre 2014
Heure: 3:00 p.m. 6:00 p.m.
Lieu: 1231 S. Federal Hwy (US 1)
Pompano Marketplace
Pompano Beach, FL 33062
Les représentants du Consulat général du Canada seront à la succursale de Natbank à Pompano Beach le jeudi 16 octobre 2014 afin de répondre à vos questions concernant les demandes de passeport ainsi qu’à vous aider à compléter les formulaires.
Visa HB-1
Ce visa est un visa réservé aux professionnels. Vous devez trouver avant tout un employeur prêt à vous employer et à faire la demande de visa pour vous.
> Ce visa est bon pour trois ans. Pour vous qualifier vous devez avoir
– quatre ans d’université ou 12 ans d’expérience professionnelle dans un domaine particulier en relation avec l’emploi que vous voulez obtenir aux États-Unis.
– L’immigration accepte aussi une combinaison d’expérience professionnelle et d’années d’étude.
> Ce visa est ce que l’on entend souvent dire un parrainage, en anglais sponsor.
Si vous avez l’expérience requise ou les diplômes exigés, il vous faut donc trouver l’employeur. Quand vous cherchez un emploi, il est important de préciser à votre futur employeur que, même si il ou elle a signé les papiers d’immigration pour votre visa, ce n’est par pour autant qu’il est tenu de vous engager une fois le visa obtenu. C’est donc en quelque sorte l’employé qui prend tous les risques et non pas l’employeur.
Une fois que vous avez obtenu ce visa, vous pouvez entreprendre les démarches pour la Carte Verte (Green Card).
Source : Les Chroniques de Marcelle Poirier
Avocate spécialisée en immigration
Miami : 305.854.4445
Montréal : 514-448-7520
Les chroniques de Marcelle Poirier
Industrie à la baisse
Les cultures de la principale région productrice d’oranges aux Etats-Unis sont victimes d’une maladie affectant les plants d’agrumes.
A New York, les prix du jus d’orange concentré congelé ont dépassé début mars la barre de 1,50 dollar par livre et s’y maintiennent. Il s’agit de leur plus haut niveau depuis l’été 2013. Ils ont gagné 21 % depuis le début de l’année. La baisse conjuguée de la production d’oranges et de celle de jus d’orange aux Etats-Unis tire les prix à la hausse. Le pays est le troisième producteur mondial d’oranges et le deuxième producteur mondial de jus d’orange.
D’après le département américain de l’Agriculture (USDA), la récolte d’oranges de la Floride devrait être, cette année, la plus faible depuis la campagne 1984-1985. Elle reculerait de 18 % sur un an. 70 % de la production américaine d’oranges provient de la région. Les cultures sont victimes du citrus greening, une maladie qui empêche l’absorption de nutriments suffisants et ralentit la croissance des fruits.
Le taux de perte enregistré en Floride devrait être cette année le plus élevé en cinquante ans. Cette maladie, également répandue au Brésil, conduit à une baisse prématurée de la production de fruits, et en modifie les propriétés organoleptiques.
Le Brésil, premier exportateur mondial de jus d’orange, ne serait pas forcément en mesure de prendre le relais des Etats-Unis. En janvier dernier, l’USDA tablait sur des hausses de la production d’oranges et de jus d’orange dans le pays entre les campagnes 2012-2013 et 2013-2014, respectivement estimées à 8 % et à 18,5 %. Ces gains, aussi impressionnants soient-ils, font suite à des reculs de la production d’oranges de 20 % et de 23 % pour le jus d’orange au cours de la campagne précédente. La sécheresse qui affecte le pays depuis le début de l’année pourrait, de plus, contrarier ces prévisions. « Le Brésil va-t-il prendre le relais des Etats-Unis ? », s’interroge ainsi Commerzbank.
La production d’oranges et de jus d’orange de la Chine et de l’Union européenne serait orientée à la hausse en 2013-2014. Ces deux producteurs demeurent avant tout des importateurs. La Chine doit ainsi acheter la moitié des volumes de jus d’oranges consommés. « Nous pensons que l’offre aux États-Unis et les préoccupations concernant la réduction de la production brésilienne continueront à soutenir les prix pour le moment », indique à usinenouvelle.com Michaela Kuhl, analyste pour la banque allemande. A long terme, l’attention portée par les consommateurs à la teneur en sucre des produits pourrait accélérer la baisse de la consommation de jus d’orange déjà constatée aux Etats-Unis et dans l’Union européenne, ajoute-t-elle.