Bob rentre chez lui avec un chien minuscule qu’il vient d’acheter et annonce fièrement à sa copine :
– Chérie! Je t’ai acheté un chien pour te protéger quand tu sortiras seule, et pour garder la maison. La jeune femme regarde avec étonnement le chien qui est à peine plus grand qu’un lapin.
– Mon amour, crois-tu vraiment qu’un si petit chien pourra me protéger? Regarde-le, il n’a pas l’air bien méchant. Il ne ferait même pas peur à un enfant de 2 ans.
– Je sais ma biche, il ne paie pas de mine mais c’est un chien d’une race très spéciale, qu’on trouve uniquement au Japon et, tiens-toi bien, il fait du karaté. Viens avec moi dehors je vais te montrer. Une fois dehors, Bob dit au chien :
– Karaté râteau !
Alors le petit chien se précipite sur le râteau au milieu du jardin. Avec ses pattes avant il donne de grands coups sur le râteau, si bien qu’en un rien de temps, le râteau est transformé en un tas de petites brindilles…
Pour convaincre totalement son amie, Bob dit au chien :
– Karaté barbecue!
Et l’animal se jette sur le barbecue en briques, lui assène de nombreux coups de pattes. Une minute après, à la place du barbecue, il ne reste plus qu’un tas de gravats.
Attiré par le bruit qu’a fait la démonstration un voisin arrive et demande ce qui se passe. Ravie d’avoir désormais un chien pour la protéger, la jeune femme lui explique :
– C’est notre chien, il est incroyable! Il fait du karaté!
Le voisin regarde alors le petit chien et dit avec un large sourire :
– Karaté, mes couilles…
Les cuisses de la nonne
Au volant de sa voiture et en route vers le couvent, un prêtre rattrappe une nonne à pied. Il s’arrête et lui offre de la raccompagner au couvent.
Elle accepte, monte dans la voiture, et en croisant ses jambes, en révèle une magnifique paire. Le prêtre ne peut s’empêcher de les regarder et perd un instant le contrôle de sa voiture.
Après avoir retrouvé la maîtrise de son auto, il pose subitement la main droite sur la cuisse de la nonne. Elle le regarde et lui lance : « Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129 ? » Penaud, le prêtre retire subitement sa main et se confond en excuses.
Un peu plus loin, rongé par la tentation, il profite d’un changement de vitesse pour laisser sa main effleurer la cuisse de la nonne, qui lui demande aussitôt : « Mon père, vous souvenez-vous de Psaume 129 ? ». Il rougit une fois de plus et retire sa main, balbutiant « Désolé, ma soeur, la chair est faible ». Arrivée au couvent, la nonne descend de la voiture sans dire un mot et lui jette un regard sans équivoque… Le prêtre se précipite sur la première bible qu’il trouve, à la recherche du Psaume 129 : « Allez de l’avant, cherchez toujours plus haut, vous trouverez la gloire »
Morale de la leçon n°2 : Au travail, soyez toujours bien informé ou vous risquez de passer à côté de belles occasions…