La chelise lilas
Un monsieur entre dans un magasin de mode qui vend des chemise d’hommes de qualité.
Il demande au vendeur une chemise de couleur lilas.
Le vendeur lui apporte une chemise lilas en faisant la réclame.
Le client la regarde de tous les côtés et dit :
– Non, ce n’est pas ce lilas que je voudrais.
Le vendeur lui apporte alors 5 ou 6 chemises de couleur lilas.
Le client passe encore un long moment à les regarder, les mettre en lumière ; il sort sur le pas de la porte pour les voir à la lumière du jour.
Il revient et dit :
– Ce n’est pas ça du tout.
Le vendeur commence un peu à s’énerver et plusieurs fois le même scénario se répète ; il apporte une vingtaine de chemises et aucune teinte ne convient au client…
Excédé, le vendeur déclare qu’il est désolé, mais qu’il ne possède pas de chemise ayant la teinte lilas que recherche ce client.
Le monsieur regarde autour de lui et s’exclame :
– Comment et cette chemise là-bas, vous voyez bien que vous avez la teinte lilas que je recherche.
– Quelle chemise ?
– Mais celle-là.
– Mais, Monsieur, c’est une chemise blanche.
– Et alors, dit le client, vous n’avez jamais vu de lilas blanc.
Mes condoléances
Un gros industriel agonise.
À son chevet, son associé le supporte.
Soudain le mourant lui fait signe d’approcher encore plus près et murmure d’une voix faible :
– Je veux libérer ma conscience avant de mourir.
Le trou dans la caisse il y a 5 ans, c’était moi.
Le faux incendie, c’était moi.
Le cambriolage, l’an passé, eh bien! c’était moi…
Et pour rien te cacher, l’amant de ta femme,
eh bien ! c’était moi…
– Tu peux mourir en paix, dit l’autre, l’arsenic dans ton café, c’est moi.