Dans un club de la marine britannique, sont présents un jeune officier de marine et un amiral proche de la retraite.
Le jeune officier qui semble s’ennuyer s’approche de l’amiral :
-Mes respects, Amiral, puis-je vous offrir un verre?
-Jeune homme, j’ai bu une seule fois dans ma vie un verre d’alcool et je n’ai jamais plus recommencé.
Après quelques minutes, le jeune officier reprend la parole.
-Amiral, puis je vous proposer une partie de billard?
-Jeune homme, j’ai joué au billard une seule fois dans ma vie et je n’ai jamais plus recommencé.
Osant une autre fois proposer à l’amiral une activité, il lui suggère une partie de carte.
Même réponse de l’amiral :
-Jeune homme, j’ai joué aux cartes une seule fois dans ma vie et je n’ai jamais plus recommencé. Mais si vous attendez un peu, mon fils, qui a votre âge, va arriver et vous pourrez boire et jouer avec lui.
Alors le jeune officier, très respectueux, répond :
-Votre fils unique je suppose, Amiral?
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Au cours de la dernière guerre mondiale les restrictions étaient très sévère en Grande-Bretagne. Particulièrement le sucre au moment du thé.
Mme Prettywood, qui n’a plus de sucre chez elle, est invitée chez son amie à prendre le thé. Sur la table trône un magnifique sucrier qui déborde de sucres.
Madame se sert abondemment et à ce moment là le téléphone sonne et son amie s’excuse et sort du salon pour aller répondre. Cédant à la tentation, Mme Prettywood prend une grosse poignée de sucre et la glisse dans son corsage.
Son amie revient, puis après quelques temps on se sépare.
En arrivant chez elle, sa fille lui dit :
– Maman, il y a le pasteur en visite.
– Bien, ma chérie, prépare le thé.
– Mais, maman, il n’y a plus de sucre.
– Ne t’en fait pas, fais moi confiance.
On dit bonjour au pasteur, le thé arrive, la tasse du pasteur est servie et manifestement il cherche le sucre.
– Vous désirez un peu de sucre, monsieur le pasteur ?
– Oui, s’il vous plait.
Madame Prettywood plonge la main dans son corsage et retire un poignée de sucre qu’elle glisse dans le sucrier vide.
– Un peu de lait, monsieur le pasteur?
– Ooooo……. NON, MERCI BEAUCOUP…