Tarte aux tomates
1 gros oignon
1 c. à table d’huile
1 pincée de basilic
1/2 c. à thé de moutarde de Dijon
3/4 tasse de fromage râpé
2 tomates
1 à 2 gousses d’ail
1 abaisse de tarte
Trancher l’oignon en rondelles.
Chauffer l’huile dans une poêle à frire.
Faire revenir l’oignon avec le basilic et la moutarde de Dijon.
Déposer ce mélange dans le fond de tarte non cuit.
Trancher les tomates en rondelles et les déposer sur un papier essuie-tout pour les éponger.
Recouvrir la préparation qui est dans l’assiette à tarte de fromage râpé et y déposer les tranches de tomates sur le dessus.
Saupoudrer d’une pincée de basilic, de sel, de poivre au goût.
Mettre au four à 350 F 20 minutes.
Visa HB-1
Ce visa est un visa réservé aux professionnels. Vous devez trouver avant tout un employeur prêt à vous employer et à faire la demande de visa pour vous.
> Ce visa est bon pour trois ans. Pour vous qualifier vous devez avoir
– quatre ans d’université ou 12 ans d’expérience professionnelle dans un domaine particulier en relation avec l’emploi que vous voulez obtenir aux États-Unis.
– L’immigration accepte aussi une combinaison d’expérience professionnelle et d’années d’étude.
> Ce visa est ce que l’on entend souvent dire un parrainage, en anglais sponsor.
Si vous avez l’expérience requise ou les diplômes exigés, il vous faut donc trouver l’employeur. Quand vous cherchez un emploi, il est important de préciser à votre futur employeur que, même si il ou elle a signé les papiers d’immigration pour votre visa, ce n’est par pour autant qu’il est tenu de vous engager une fois le visa obtenu. C’est donc en quelque sorte l’employé qui prend tous les risques et non pas l’employeur.
Une fois que vous avez obtenu ce visa, vous pouvez entreprendre les démarches pour la Carte Verte (Green Card).
Source : Les Chroniques de Marcelle Poirier
Avocate spécialisée en immigration
Miami : 305.854.4445
Montréal : 514-843-0006
Les chroniques de Marcelle Poirier
Commerçants en colère
Les résidents tout comme les vacanciers qui fréquentent assidument la plage de Hollywood ne l’auront pas facile cette saison. Depuis juillet dernier. Non seulement le parking de la plage municipale est fermé depuis juillet mais plusieurs autres espaces de stationnement aux abords de la A1A sont également fermés.
La raison de tout ce bouleversement est bien simple, on débutera la construction du Margarita, cet imposant hôtel dont on parle depuis des années angle Johnson Street, directement sur la plage, ce qui changera considérablement le paysage de la plage et de la ville. A ce jour, on a aboli 875 places de stationnement. Fréquenter la plage de Hollywood l’automne prochain représentera un véritable casse-tête. La ville devra trouver une solution valable pour ne pas perdre ses snowbirds, mais certains commerçants ne trouvent pas la situation très drôle et ont bien peur d’être acculés à la faillite.
Le Margarita Hollywood Beach Resort, nom donné par Jimmy Buffet, revigorera cette portion de la plage et fera augmenter la valeur des propriétés avoisinantes et, par le fait même, les commerçants actuels profiteront de la subvention accordée par la CRA (Com-munity Redevelopment Agency) pour effectuer d’importantes rénovations. Le complexe occupera une superficie de six acres sur Johnson entre le Broadwalk et la A1A ainsi que du côté de l’Intrascoastal. On y retrouvera sept restaurants, de nombreux bars, des piscines, une piscine à vague, un spa.
Margaritaville, un projet de 130 millions $, versera un million de dollars en taxes à la ville tout en réalisant un important chiffre d’affaire car on estime que les touristes dépenseront 60 millions par an, en plus de 30 millions dans les commerces voisins.
Gatorland
Les alligators, ces sinistres sauriens ratatinés, étaient, en Floride, le fleuron des attractions au bord des routes : aucun animal n’attirait autant les foules que ces préhistoriques créatures.
Ainsi, plusieurs parcs étaient entièrement consacrés aux alligators, comme Gatorland, une ferme d’alligators ouverte en 1948. Au fil des ans, la ferme a ajouté des serpents et autres animaux, des spectacles, un parc aquatique (sans alligators) et un zoo où les enfants peuvent caresser les animaux.
GATORLAND, Orlando, 407-855-5496 or 800-393-JAWS, www.gatorland.com
Little Haiti
Depuis les années 80, nombre de réfugiés haïtiens se sont installés dans ce quartier. Celui-ci, bien que pauvre, est très pittoresque et relativement tranquille si l’on demeure sur les grandes artères comme 54th street et NE 2nd avenue.
Caribbean Marketplace sur NE 2nd avenue et 60th Street, Miami, possède quelques étals d’artisanat situés en face de magasins peints de couleur vives, et ce sur fond de musique haïtienne. Ceux-ci vendent des accessoires religieux, des poulets à la façon des Caraïbes ou des plantains.
C’est à voir, le quartier est intéressant et il faut absolument goûter à la bouffe haïtienne, elle est tout simplement délicieuse et pas chère du tout.