Je me souviens
14 Août:
1791. Cérémonie du Bois-Caiman.
Grande cérémonie vodou rassemblant les esclaves des environs de Morne Rouge (Département du Nord) sous la direction d’un esclave nommée Boukman, prêtre du vodou. Une semaine, plus tard, une révolte d’esclaves éclata dans le Nord, marquant le début de la guerre de l’indépendance.
Carl Fombrun en vacance à Montréal
LE COIN DE CARL ne sera pas sur l’internet pour le mois d’Août 2006, où sur la Radio, la Télévision à Miami, Fort Myers, ou à New York, à part des apercus déjà présentés.
En vacance dans le Nord des États-Unis, Montréal et Ottawa, Canada. Carl Fombrun invite tous les intellectuels à venir le rencontrer l’un ce ces vendredis pendant son séjour, au légendaire bistro LA BRÛLERIE, sur la Côte-des-Neiges.
Carl j’accepte ton invitation, j’y serai le dernier vendredi d’aout…on doit discuter de la ‘Maison de la Floride’
‘Libération de l’otage italienne Gigliola Martino après 4 jours’
L’Italienne Gigliola Martino Vitielo, enlevée lundi par des inconnus, aura passé 4 jours entre les mains de ses ravisseurs. La sexagénaire a été libérée jeudi soir contre une forte rançon.
14 Août:
1791. Cérémonie du Bois-Caiman.
Grande cérémonie vodou rassemblant les esclaves des environs de Morne Rouge (Département du Nord) sous la direction d’un esclave nommée Boukman, prêtre du vodou. Une semaine, plus tard, une révolte d’esclaves éclata dans le Nord, marquant le début de la guerre de l’indépendance.
Carl Fombrun en vacance à Montréal
LE COIN DE CARL ne sera pas sur l’internet pour le mois d’Août 2006, où sur la Radio, la Télévision à Miami, Fort Myers, ou à New York, à part des apercus déjà présentés.
En vacance dans le Nord des États-Unis, Montréal et Ottawa, Canada. Carl Fombrun invite tous les intellectuels à venir le rencontrer l’un ce ces vendredis pendant son séjour, au légendaire bistro LA BRÛLERIE, sur la Côte-des-Neiges.
Carl j’accepte ton invitation, j’y serai le dernier vendredi d’aout…on doit discuter de la ‘Maison de la Floride’
‘Libération de l’otage italienne Gigliola Martino après 4 jours’
L’Italienne Gigliola Martino Vitielo, enlevée lundi par des inconnus, aura passé 4 jours entre les mains de ses ravisseurs. La sexagénaire a été libérée jeudi soir contre une forte rançon.
L’Italienne Gigliola Martino Vitielo, enlevée lundi par des inconnus, aura passé 4 jours entre les mains de ses ravisseurs. La sexagénaire a été libérée jeudi soir contre une forte rançon.
Gigliola Martino, dont le mari avait été maltraité au moment où elle allait être enlevée, n’a appris la nouvelle de la mort de son époux, Guido Vitielo, que vendredi matin, au lendemain de sa libération. La famille lui a caché la vérité pour ne pas trop la choquer, a-t-elle expliqué.
Les ravisseurs ont fait irruption dans la résidence du couple à Musseau, située non loin de la primature. Ils ont exigé de l’argent et des bijoux et ont tabassé Guido Vitielo, commerçant italien installé en Haïti depuis 30 ans. La dernière image que Gigliola garde de son mari est celle d’un homme ligoté saignant à la bouche et au nez alors qu’elle se faisait embarquer par l’inconnu.
C’est la 2e fois que Gigliola Martino s’est fait kidnapper en Haïti. « La famille a dû faire un marathon pour collecter la rançon », ont indiqué les enfants de la victime Ricardo et Sabrina Vitielo.
Le premier a qualifié de propagande les propos selon lesquels lui et sa sur auraient été pris en charge par l’ambassade italienne en Haïti pendant la séquestration de leur mère. La rançon versée dépasserait les $US 50.000, selon Ricardo.
Bien installée dans son fauteuil, Mme Martino a reçu des amis vendredi. Interrogée sur un éventuel départ du pays, elle a reconnu que « personne n’aurait voulu vivre dans un pays où l’insécurité fait rage. Pour le moment je ne peux rien vous dire, parce que je dois prendre une décision. Cela ne se fait pas du jour au lendemain, il faudra réfléchir et prendre la décision définitive », a-t-elle répondu.
Les funérailles de Guido Vitielo sont prévues pour le mardi 15 août à l’église Saint Pierre de Pétion-ville. Pour les poursuites légales, Sabrina affirme connaitre la chanson : « l’enquête se poursuit ». Elle a demandé à la police de lui rendre le corps de son père pour célébrer les funérailles.
Référence : Haiti Press Network
