Je me souviens
24 Juillet:
1824. Nationalisation des biens de l’Eglise catholique.
Boyer promulga une loi déclarant propriétés de l’Etat tous les biens appartenus à l’Eglise catholique. Cette action fut assimilée à une revanche du chef-d’état haitien contre l’Archevêque de Santo Domingo qui refusa de se transférer à Port-au-Prince, à la demande de Boyer.
24 Juillet:
1824. Nationalisation des biens de l’Eglise catholique.
Boyer promulga une loi déclarant propriétés de l’Etat tous les biens appartenus à l’Eglise catholique. Cette action fut assimilée à une revanche du chef-d’état haitien contre l’Archevêque de Santo Domingo qui refusa de se transférer à Port-au-Prince, à la demande de Boyer.
1988. Investiture de Mgr. François Gayot comme Archevêque.
Le Diocèse du Cap-Haitien ayant été élevé au rang d’Archidiocèse, Mgr. François Gayot, qui le dirigea depuis 1974, fut nommé Archevêque. Durant la cérémonie d’investiture, on impose au nouvel archevêque le ‘pallium’ (Canon 355, 437).
L’ancien premier ministre intérimaire, Gérard Latortue, rend au consulat d’Haïti en Floride deux véhicules de luxe
L’ancien premier ministre intérimaire Gérard Latortue a accepté, à la suite de multiples pressions, de rendre à l’Etat haïtien deux véhicules de luxe achetés avec des fonds du trésor public et qu’il gardait à son service à Boca Raton en Floride.
M. Latortue avait fait décaisser avant son départ précipité en Floride en mai dernier 90.000 dollars américains pour l’achat de ces véhicules qui devaient être mis au service de l’Etat haïtien.
Mais il devait ensuite décider de les garder une fois retourné à Boca Raton.
A la suite de pressions diverses, Latortue a finalement rendu les deux véhicules de luxe au consulat d’Haïti en Floride pour être rapatriés en Haïti.
Peu avant son départ, le régime intérimaiire avait pris une décision accordant notamment 15.000 dollars américains par mois à M. Latortue comme redevances aux anciens premiers ministres.
‘Conférence avec les bailleurs de fonds internationaux’
L’administration Préval/Alexis II (deuxième version du tandem René Garcia Préval et Jacques Edouard Alexis, après la période 1999-2001) affirme avoir pris des dispositions institutionnelles pour garantir la sécurité pendant la conférence internationale pour le développement économique et social d’Haïti, plus connue sous le nom de conférence avec les bailleurs de fonds internationaux, qui se tiendra dans la capitale haïtienne aujourd’hui 24 juillet et demain.
« Les forces de l’ordre se chargeront de sécuriser les différentes délégations, une quarantaine environ, durant leur séjour dans le pays. Nous n’avons pas d’inquiétudes. La Police nationale d’Haïti (PNH) et la Mission des nations unies pour la stabilisation d’Haïti (MINUSTAH) travaillent depuis plusieurs semaines sur la mise en place d’un plan de sécurité pour l’événement », tente de rassurer le ministre de la Planification et de la coopération externe, Jean-Max Bellerive, coordonnateur général du comité de pilotage de la réunion.