-Chéri, dit la quinquagénaire, tu ne m’aimes plus comme avant. Souvent, après le repas, tu me caressais le menton pour me signifier que tu voulais faire zizi panpan.
– Ouin, dit Albert, en levant les yeux de son journal, sauf qu’avant, comme tu dis, tu n’avais qu’un seul menton. Maintenant, je ne sais vraiment plus.
Gros lard!