Je me souviens
11 Août:
1911. Aux Iles de la Madeleine, à l’Anse à la Cabane ou Millerand, une merveilleuse petite Ile du Québec, un grand homme est né, il y vécut jusqu’au 28 décembre 1981, une grande perte non seulement pour sa femme et ses douze enfants, mais pour les 13 500 habitants de l’Ile…25 ans bientôt et tout le monde du village en parle encore. Quand j’arrive sur mon Ile je dois m’identifier, normal après 40 ans d’absence, et quelle fierté de dire ‘je suis Yvonne la fille du boucher, vous savez la fille d’Edouard à André à Emile à Jean’… Papa, 25 ans et c’est comme si c’était hier, tu es toujours présent dans nos coeurs et pour ta fête je dédie ce magnifique poème écrit par mon amie, ‘3 ans déjà’. Cliquez
Carl Fombrun en vacance à Montréal
LE COIN DE CARL ne sera pas sur l’internet pour le mois d’Août 2006, où sur la Radio, la Télévision à Miami, Fort Myers, ou à New York, à part des apercus déjà présentés.
En vacance dans le Nord des États-Unis, Montréal et Ottawa, Canada. Carl Fombrun invite tous les intellectuels à venir le rencontrer l’un ce ces vendredis pendant son séjour, au légendaire bistro LA BRÛLERIE, sur la Côte-des-Neiges.
Carl j’accepte ton invitation, j’y serai le dernier vendredi d’aout…on doit discuter de la ‘Maison de la Floride’
‘Le secteur avicole d’Haïti est traité en parent pauvre’
A l’instar des autres productions, le secteur avicole d’Haïti est traité en parent pauvre. Le faible niveau technique des éleveurs, la flambée des prix des facteurs de production, les pathologies de tous ordre, entre autres, constituent les principaux obstacles au développement de ce secteur. Une étude du Laboratoire des Relations Haïtiano-Dominicaines en dit long…
En Haïti, la production industrielle des ufs, l’un des produits faisant partie de la liste des rares « aliments complets » au monde, est de l’ordre de 1 million par mois, extrêmement faible par rapport à celle de la République Dominicaine, apprend l’agence en ligne AlterPresse.
11 Août:
1911. Aux Iles de la Madeleine, à l’Anse à la Cabane ou Millerand, une merveilleuse petite Ile du Québec, un grand homme est né, il y vécut jusqu’au 28 décembre 1981, une grande perte non seulement pour sa femme et ses douze enfants, mais pour les 13 500 habitants de l’Ile…25 ans bientôt et tout le monde du village en parle encore. Quand j’arrive sur mon Ile je dois m’identifier, normal après 40 ans d’absence, et quelle fierté de dire ‘je suis Yvonne la fille du boucher, vous savez la fille d’Edouard à André à Emile à Jean’… Papa, 25 ans et c’est comme si c’était hier, tu es toujours présent dans nos coeurs et pour ta fête je dédie ce magnifique poème écrit par mon amie, ‘3 ans déjà’. Cliquez
Carl Fombrun en vacance à Montréal
LE COIN DE CARL ne sera pas sur l’internet pour le mois d’Août 2006, où sur la Radio, la Télévision à Miami, Fort Myers, ou à New York, à part des apercus déjà présentés.
En vacance dans le Nord des États-Unis, Montréal et Ottawa, Canada. Carl Fombrun invite tous les intellectuels à venir le rencontrer l’un ce ces vendredis pendant son séjour, au légendaire bistro LA BRÛLERIE, sur la Côte-des-Neiges.
Carl j’accepte ton invitation, j’y serai le dernier vendredi d’aout…on doit discuter de la ‘Maison de la Floride’
‘Le secteur avicole d’Haïti est traité en parent pauvre’
A l’instar des autres productions, le secteur avicole d’Haïti est traité en parent pauvre. Le faible niveau technique des éleveurs, la flambée des prix des facteurs de production, les pathologies de tous ordre, entre autres, constituent les principaux obstacles au développement de ce secteur. Une étude du Laboratoire des Relations Haïtiano-Dominicaines en dit long…
En Haïti, la production industrielle des ufs, l’un des produits faisant partie de la liste des rares « aliments complets » au monde, est de l’ordre de 1 million par mois, extrêmement faible par rapport à celle de la République Dominicaine, apprend l’agence en ligne AlterPresse.
A l’instar des autres productions, le secteur avicole d’Haïti est traité en parent pauvre. Le faible niveau technique des éleveurs, la flambée des prix des facteurs de production, les pathologies de tous ordre, entre autres, constituent les principaux obstacles au développement de ce secteur. Une étude du Laboratoire des Relations Haïtiano-Dominicaines en dit long…
En Haïti, la production industrielle des ufs, l’un des produits faisant partie de la liste des rares « aliments complets » au monde, est de l’ordre de 1 million par mois, extrêmement faible par rapport à celle de la République Dominicaine, apprend l’agence en ligne AlterPresse.
Selon une étude du Laboratoire des Relations Haïtiano-Dominicaines (LAREHDO), cette production intensive des ufs de table, qui se heurte à des contraintes énormes, tournerait autour de 11.4 millions d’ufs par an.
Le manque de connaissances techniques des agriculteurs du milieu rural, le problème de localisation des lieux de ponte et les pathologies qui affectent grandement l’élevage, sont quelques-unes des contraintes mentionnées dans cette étude conduite par l’ingénieur-agronome Henry Châtelain, de concert avec Roberde Périlus.
Des contraintes professionnelles, d’ordre économique, ainsi que d’autres liées aux insuffisances de politiques agricoles, sont aussi signalées dans cette recherche financée par l’Union Européenne qui porte sur l’analyse de la filière d’importation en Haïti des ufs de table de la République Dominicaine.
La suite sur Alter Presse
Et si on parlait de l’Ethiopie
Les agences des Nations Unies présentes en Ethiopie s’organisent pour venir en aide aux populations touchées par de graves inondations à Dire Dawa qui ont fait au mois 200 morts et provoqué le déplacement d’environ 3000 personnes.
L’UNICEF a mis à disposition 2 000 kits familiaux dans la zone affectée et le PAM (Programme Alimentaire Mondial) une ration d’un mois de nourriture à 10 000 personnes victimes de ces inondations, annonce un communiqué diffusé depuis New York aujourd’hui par le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA).
Des fournitures non alimentaires distribuées par le Programme alimentaire mondial (PAM) ont également été acheminées sur place.
Le 7 août, OCHA a accompagné une mission d’évaluation gouvernementale sur place qui a recommandé l’acheminement immédiat de fournitures alimentaires et non alimentaires, notamment des vêtements et des abris.
Dans la nuit du 5 au 6 août, des pluies intenses ont causé des inondations dans la région de Dire Dawa, sixième ville du pays avec 400 000 habitants, située à 525 kilomètres à l’est de la capitale éthiopienne, Addis Abeba. 300 personnes sont toujours portées disparues. Plusieurs personnes ont trouvé refuge dans des écoles alors que d’autres sont restées dans leurs habitations.
Les chutes de pluie ont fait déborder la rivière Dechatu qui s’est étendue de 200 mètres de chaque côté de ses berges, balayant tout sur son passage, maisons, arbres et clôtures. Dans certains endroits, des édifices entiers ont été détruits, et le risque d’inondation reste élevé en raison de fortes chutes de pluie sur les hauts plateaux à l’extérieur de la ville.
Source: ONU