Renald Côté, ce monstre incestueux de 51 ans accusé de multiples agressions sexuelles sur sa fille Isabelle, décédée l’été dernier d’un cancer, a fait face à 18 chefs d’accusation à caractère sexuel dont deux sur deux autres femmes et a été reconnu coupable.
On réclame 18 ans de prison pour ce monstre. Douce sentence aux frais des contribuables. Avec notre bon système judiciaire, Côté fera 7 ans et sera libre comme l’air par la suite.
Isabelle Côté, petite fille sage mais avec problèmes problème, pas trop belle et pas trop dégourdie, souffre-douleur de ses camarades de classe et de ses parents, est décédée le 4 juillet dernier, d’un cancer des ovaires. Son père l’a poursuivie jusque sur son lit de mort. Elle avait une vingtaine d’années.
Le martyre avait commencé à l’âge de 3 ans. Son père la violait sur la sécheuse à linges alors que, sans doute pour atténuer la douleur et l’humiliation, sa mère, Johanne, lui massait les pieds. Tout bonnement ses frères grimpaient sur des bancs pour atteindre ses organes génitaux et la violer à leur tour. Les frères avait 7 et 8 ans et recevaient des taloches par la tête du père avant l’exécution.
Un homme de la trempe de Rénald Côté mérite-t-il la clémence du juge et un châtiement aussi bénin que 18 ans de prison? Il n’a absolument aucun remords.
Sans être pour la peine de mort, l’idée de la restaurer dans les cas d’inceste et violence faite aux enfants, n’est pas bête. Et, au risque de me faire lapider, je suis la première à voter en faveur si référendum il y avait sur le sujet. Quand on aura exécuté tous les Côté de la terre, peut-être bien que les enfants, qui paient la note et subissent les montées de lait des abuseurs seront vengés et pourront marcher la tête haute.
De semaine en semaine, les cas d’inceste se multiplient et nous font dresser les cheveux sur la tête. Il ne se passe pas un mois sans qu’on découvre des enfants abusés, affamés, attachés à un lit, vivant comme des bêtes, battus, martyrisés, violés, violentés, bafoués, enfermés, avec un crâne fracassé, des côtes enfoncées, des jambes cassées, écrasés et tués par les conjoints des mères silencieuces et complices qui refusent de regarder la vérité en pleine face de peur de perdre l’homme qui leur donne un semblant de confort, ou leurs propres parents.
Ca n’a aucun sens. Tant et aussi longtemps qu’on ne remettra les pendules à l’heure, des innocentes victimes paieront la note. Il faut sévir très fort pour enrayer ce cercle infernal de la violence faite aux enfants. Il faut remettre la peine de mort en vigueur et nettoyer le pays des abuseurs et de leurs complices.
Aucun pays au monde n’a besoin d’un Côté, une ordure qui ne méritait même pas un procès en bonne et due forme. Il n’a pas eu un moment de folie ou un burn-out, son manège a duré 20 ans. C’était vicieux, mûrement réfléchi, parfaitement dégueulasse.
Tuez le monstre au plus vite. La prison, les psychothérapies, les psychiatres, les psychologues ne peuvent rien. C’est un irrécupérable qui se fera vivre aux crochets d’une société qui a déjà la nausée juste en le voyant.
Qu’on exécute Côté, ça presse !
Pendez-le par les couilles et que son cas serve d’exemple à tous les abuseurs en puissance. Ca suffit les sentences bonbons au miel qu’on donne depuis des années. Le troisième millénaire est arrivé, il est temps d’enlever quelques fils d’araignées dans notre système judiciaire et de bâtir une société autant sans abuseurs que sans fumée. On est rendu là.
Joyeuse semaine de la St-Valentin ! L’amour est omniprésent dans nos vies…