L’obésité est devenue un véritable problème de santé publique en Floride où les chiffres officiels disent que pendant les dix dernières années, le nombre d’obèses s’est accru de 82% parmi les Hispaniques, 65% chez les Blancs et 51% chez les Noirs.
La hausse la plus dramatique se situe au niveau des gens de 18 à 29 ans, toutes races confondues qui est de 110%.
Pas surprenant que la perte de poids figure en tête de liste de nos préoccupations! Mais, croyez-le ou pas, ce sont les Canadiens les champions de l’obésité. Les rois des gros, c’est eux. L’insuffisance d’exercice physique a fait des jeunes Canadiens les champions mondiaux de l’obésité.
Bien que la population soit en train de gagner du poids dans le monde entier, les enfants du Canada le font à un rythme plus rapide que ceux d’ailleurs, selon une étude publiée dans les pages du Journal international de l’obésité.
Les jeunes Canadiens se sont révélé les plus gras parmi un groupe incluant également des enfants d’Espagne, d’Écosse et d’Angleterre, ont observé les auteurs de cette étude. Les chercheurs ont établi qu’en 1996, 38 pour cent des garçons canadiens âgés de sept ou huit ans étaient considérés obèses, comparativement à huit pour cent des garçons écossais, leurs plus proches concurrents à cet égard.
Ouf ! Ca fait peur.
Inutile d’adopter des régimes draconiens pour maigrir; il est préférable d’opter pour une démarche à long terme, c’est-à-dire modifier nos habitudes alimentaires.
Facile à dire, difficile à faire? En fait, il s’agit simplement de prendre la vie au jour le jour, mais surtout, ce qui est primordial, de persister.
Vous connaissez déjà les principales règles à suivre pour perdre du poids : manger trois repas par jour, éviter les aliments à haute teneur en matières grasses, manger davantage de fibres, de fruits et de légumes, boire beaucoup d’eau, etc. Mais voici quelques suggestions supplémentaires à inclure dans votre régime de vie :
Toujours la même histoire, il faut toujours maigrir… On est trop gros, on mange trop, on est tous au superlatif. Et, pendant ce temps, le temps nous file entre les doigts et on est tous au bord de la grosse déprime à cause de nos grosses fesses…
Ça n’arrête jamais!