Marcelle Poirier – Une fille qui n’a pas froid aux yeux

Elle ne parlait pas anglais, le système scolaire américain refusait de reconnaître son diplôme d’études secondaires chez les Ursulines de Québec et sa mère venait de mourir d’un cancer.

Déterminée, Marcelle a pris le taureau par les cornes. Elle a passé la première année de sa vie américaine le nez dans les livres pour apprendre l’anglais. Après quatre ans d’études, elle termine première de sa classe et obtient son bac en Science Politiques.

Marcelle Poirier s’inscrit en Droit à l’Université de Miami. Des études de trois ans et enfin, après sept ans d’étude et beaucoup de sacrifices, elle est admise au barreau de la Floride.
C’est là que commence sa passionnante aventure comme avocate à Miami.

Marcelle Poirier, après toutes les années passées à étudier, s’était promis de toujours s’occuper des francophones car elle n’oubliera jamais toutes les souffrances qu’elle a endurées pour obtenir son doctorat en Droit aux Étas-Unis.

De son cabinet, face à Biscayne Bay, elle consacre son temps à la défense du criminel, à la préparation de visas pour ceux qui, comme elle, rêvent d’immigrer aux Étas-Unis, et aussi à protéger les droits des gens qui se blessent dans un accident de voiture ou autre.

Rien n’est laissé au hasard. Chaque dossier est minutieusement étudié, chaque coup est calculé, chaque parole est pesée. La marge d’erreur est à peu près nulle dans son cas.

Marcelle Poirier prend le temps d’analyser chaque cas parce que c’est la vie des gens qui se trouve entre ses mains. Une responsabilité qu’elle prend très au sérieux. Pas question de capituler, elle va se battre jusqu’à la fin pour ses clients que ce soit au criminel, en immigration ou en dommage corporel.

La jeune trentaine, très jolie avec ses longs cheveux noirs et sa taille de mannequin, combative, beaucoup de cran et sûre d’elle, Marcelle Poirier ne s’en laisse imposer par personne.

À ses débuts, quand ses adversaires la voyaient arriver en cour, ils étaient convaincus qu’ils pouvaient la tasser au pied du mur en moins de deux. C’était mal la connaître! La jeune avocate a prouvé qu’elle était compétente et qu’elle ne connassait pas le mot capituler. Elle a su gagner le respect des juges et des avocats.

Sa réputation n’est plus à faire. On la sait tenace, prête à défendre les intérêts de ses clients comme une lionne défend sa lignée. Elle ne laisse rien passer.

Native de Montréal, Marcelle Poirier, est issue d’un milieu modeste. Elle a vécu au Québec une bonne partie de sa jeune vie. Sa mère, d’origine brésilienne, était serveuse dans un restaurant. Pour payer les études de sa fille chez les Ursulines, elle travaillait 17 heures par jour.

C’est ainsi qu’elle a engagé toutes ses ressources afin de lui procurer une éducation à la hauteur de ses aspirations. C’est chez les Ursulines que Marcelle Poirier a appris la discipline et la valeur d’une bonne éducation.

Elle a ouvert son cabinet d’avocat à l’âge de 28 ans. Elle est assistée de deux secrétaires et de Arthur Garel, un avocat comptant 25 ans d’expérience.

Marcelle Poirier se spécialise en Immigration, Dommages corporels et Droit criminel.

Les lois d’immigrations évolument rapidement aux États-Unis et elle passe beaucoup de son temps à l’étude des changements pour donner à ses clients des informations très précises.

Si vous êtes blessé dans un accident, Marcelle Poirier sera là pour récupérer un montant pour vos blessures et rappelez-vous bien que dans le dommage corporel, l’avocat n’est payé seulement s’il obtient un recouvrement. Un détail très important.

The Law Firm of Marcelle B. Poirier
2701 South Bayshore Drive, Suite 402
Miami, Florida 33133