Depuis deux ans qu’il fréquente Marie-Louise, Guillaume passe presque tous les week-ends dans sa belle famille. Il fait partie de la maison.
Un samedi soir, pendant une partie de cartes, sa belle-mère, Marguerite, qui a un petit coup dans le nez, le prend par le bras…
– Guillaume, je te félicite. Tu ne fumes plus. C’est bien. Mais Marie-Louise me dit que tu vas encore au billard avec tes chums et que tu ne fais pas toujours le ménage le samedi. Si tu veux marier ma fille, tu dois me jurer de ne plus sortir avec tes amis. Ils ne sont pas bons pour toi.
– Parfait, parfait, mais après, ne venez pas pleurer en disait que vous avez marié votre fille avec un imbécile.