À Sunny Isles, depuis les années 70 jusqu’au début du présent siècle, les musiciens québécois se produisaient tout au long des trois kilomètres de « motel row ». »
Ils étaient considérés comme des vedettes, au même titre que chanteuses et interprètes masculins. Si tous connaissaient la musique, certains d’entre eux possédaient de plus une jolie voix.
Par-dessus tous, ces gars demeuraient à la fois des animateurs, à la fois des charmeurs. De nombreuses demoiselles devenues dames de la société en rendraient compte
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